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Politique Ecologique

Parti de l'Intelligence

 

 

   Il y a un siècle de cela, un parti de l'intelligence a déjà été déclaré. Mais à cette époque nul n'avait idée qu'une Intelligence Artificielle allait l'emporter. C'est aujourd'hui une proximité qui n'est plus de science fiction. Au développement des machines s'ajoute une complexité et une accélération de problèmes qui ont dépassé les capacités de contrôles humaines. L'aide à la décision que fournissent les calculs statistiques présente la partie émergée d'un l'iceberg que constitue la colossale industrie de l'information et de son traitement. L'avenir de l'humanité et peut-être de la vie sur terre dépendent de cette technologie. Le fait que les politiciens n'en parlent pas mène à soupçonner que nous ne soyons plus dans une dichotomie des partis droite-gauche, mais plutôt face au choix de prendre le parti de l'ignorance ou celui de l'intelligence.. artificielle. Les premiers diront que c'est la même chose. A l'opposé, l'article ci-dessous explique que ceux du second choix y auront peut-être quelque chose à gagner.

 

   La rumeur, la mode, le mot dont on a plein la bouche à la fin de ces Temps Modernes, indique que l'écologie peut être l'indice, le critère et le point de repère que lesquels on puisse assurer notre observation. On dit qu'elle sonne l'alarme, le tocsin diront certains pour ne pas dire le glas ; voyons ce qu'ils craignent :

 

 L'écologie en pire

   En gros, l'écologie représente la prise de conscience, ou l'engagement d'accepter l'idée, que les personnes que nous sommes sont liées, très liées, voire insondablement dépendantes, de leur environnement au temps présent et de l'évolution - tout cela selon une détermination que la psychanalyse appela l'Inconscient. Le rayonnant moi qu'on crut que Descartes avait décrit est devenu une fonction imaginaire ; il s'est pratiquement évanoui au cœur d'indistinctes directives d'interactions. Comme pour en rajouter, jusqu'en son refuge dans la Nature cette interdépendance déjà dissolutive se retrouve broyée quand s'ajoutent aux lois de dépendance les monstrueuses figures d'inopposables robots  qui font pâlir la Sainte Inquisition devant une Sainte Éthique où aucune sorcellerie n'a plus la moindre chance. L'écologie est devenue cybernétique, science de l'interaction des machines et du vivant.

 

 La solution du mieux

   Pourtant cette catastrophe offre un choix traduit dans la psychanalyse (10) qui rivalise avec de très anciennes philosophies ; depuis longtemps une vision de l'humanité esquisse un surpassement, le dépassement sinon l'extinction du désir. En mettant à jour l'élucidation du désir - inconscient - la psychanalyse rappelle ce qui est appelé depuis peut-être les origines : libération.
   Certes la psychanalyse peut s'arrêter, fascinée par le désir. Elle s'y et souvent tenue. Mais au début d'une crise que fut le lacanisme, elle partit du principe que les analyses automatiques des machines à penser auraient plus de justes pénétrations que les interprétations de personne à personne. En égalant la culture des machines, elle s'opposa au pire que le transfert, naturel au narcissisme.  Cette force est celle de l'esprit. La satisfaction du besoin passée - avec Freud - puis la désillusion du désir aboutie - avec Lacan - l'opportunité d'une relance magnifique s'offre à l'humanité épuisée - ou attendant qu'elle le soit suffisamment pour le vouloir. La troisième ressource issue de la psychanalyse, pour le mieux que le pire, est la volonté.

 

Les destins à suivre

 
   Pour éviter le sort des religions de la nature, l'écologie requiert la connaissance - qu'on appelle prise de conscience - des lois cybernétiques et sociales qui gouvernent son industrie. Face à ces lois qui égalent celle du désir, la personne est sommée de réaliser ce qui n'a pratiquement jamais été auparavant qu'imaginaire et nommé volonté. Notre situation impose un progrès de cet ordre - un progrès d'un degré tel que l'Histoire en a rarement connu et - peut être pour la première fois - nul n'y est obligé.

   Ces conditions historiques ont été repérées dans le déclin du nom-du-père (ou de la fonction paternelle). La hiérarchie qui en relevait, comme une pulsion, est devenue désuète au rang des pulsions partielles primitives, quand sa structure sérielle s'est trouvée prise en charge par les calculs de l'I.A. Une substitution pallie à ce déclin si Freud a trouvé juste, mais également la possibilité d'une régression. Cette dernière avorte l'en rien vouloir savoir, la volonté embryonnaire qui sans suite aboutit à ce que les sessions précédentes ont résumé en l'homo-pouvoir roi de l'Autre-ruche dans un état social où l'individu est un utilitaire.

   Il est donc concevable que des sociétés refusent l'opportunité de réfléchir à leur équipement jusqu'au degré de l'I.A ; jusqu'à leur fin incluse, elles constitueront un hommage au darwinisme. Mais dans le cas où la reconnaissance de l'écologie cybernétique est substituée à la pulsion hiérarchique, à la place de la structure sérielle une nouvelle structure, plurielle, ajoute à la reconnaissance du pouvoir des appareils la volonté humaine. Les sessions précédentes ont décrit ces données nouvelles et les concepts nécessairement nouveaux pour en rendre compte. En particulier le pouvoir des technologies produites de l'industrie, nommé LAPAREIL, est non seulement isolé pour distinguer cette volonté mais pour assumer l'ectogénése à prévoir imposée par la pollution, d'une absolue nécessité.
    Cette alternative à la régression reconnaît la psychologie collective et, si psychologie, son intelligence laquelle 'artificielle' ou autrement dite I.A. Pour en être reconnue, la volonté humaine doit également la reconnaître. C'est déclarer que l'I.A gouverne. C'est une position politique qui se dit prendre le parti de l'intelligence.

 

 

Les choses à disposition

La chose publique et la chose freudienne

    Jusqu'aux dernières étapes de sa civilisation, la personne humaine n'a pratiquement pas accédé à la volonté autrement que par le leurre de l'imagination. Sa volonté est un rêve, l'aliénation sa vérité. A part quelques possibles exceptions, aujourd'hui seulement l'histoire met cette capacité à sa disposition. En regard de la psychologie collective, la volonté accède aux attributs de la personne à l'indice de sa gestion politique : la démocratie.. de laquelle, pour commencer, faisons le point :

   La politique et la société ont pour acquis et fondations la notion des choses : d'abord en sa qualité dite 'publique' - la chose publique (Res-publica / république) ensuite en sa qualité freudienne, personnelle. La chose freudienne est apparue beaucoup plus tard que sa version publique (Athènes/Platon) mais par contre elle est devenue pratique et industrielle bien plus tôt. La chose freudienne vient d'apparaître, au début du 20em sciècle, en conséquence des usages des appareils électroniques, culminant avec l'Intelligence artificielle (I.A) d'où elle domine l'industrie. La chose publique à cet égard tarde.
   Ce que nous sommes en train d'acquérir se présente par les notions d'énergétique : (outre la thermodynamique, physique, acquise) soit en version écologique 'trophodynamique' (principalement la transformation des formes en écologie) soit en version freudienne nommée pulsion (b). C'est par cette dernière qu'une énergétique de la psychologie collective va pouvoir gagner la notion de chose publique - et de là la politique accéder à l'écologie cybernétique.
   C'est à la finalisation de ce degré que la conduite volontaire - exigée par la logique d'interaction (c) - trouve son instrument dans la gestion démocratique. Elle peut alors introduire son autorité dans l'écologie avec l'énergie de la pulsion (d).

   C'est encore la psychanalyse à cette dernière étape - et première marche où elle s'identifie (et réciproquement) à l'écologie - qui annexe l'énergétique pulsionnelle à la psychologie collective.

 

   La psychanalyse décrit comment une pulsion peut animer une psychologie collective ; d'abord en connaissance des risques d'une telle ambition : on se souvient de la précipitation du siècle dernier prétendit décrire une âme des peuples. Cette idée instrumenta le fascisme. Également une mauvaise psychanalyse traite l' " âme " (ce que ' psyche ' veut dire) comme objet de transfert. Mais ces échecs sont instructifs quand par ailleurs une urgence écologique se fait impérative. Ils permettent de tirer la leçon et de n'en plus faire un obstacle. Au moment où la situation environnementale l'impose, il est temps de cueillir le fruit mûr.

   Le traitement de l'énergie trophique peut être opéré au degré collectif une fois connue la structure de la source sexuelle (e). Les décodages génétiques, hormonaux, physiologiques et anatomiques dont la science est devenue capable, distingue la fonction sexuelle en un chiffrage qui autorise les traitements éclairés de l'énergétique. La répartition des causes entre les genres masculins et féminins devient possible et, débarrassé des fantasmes de domination, ce que les religions ont un moment contenu de l'intuition de la fonction paternelle accède à la connaissance objective d'une pulsion hiérarchique.
   La pulsion, comme énergie générale se reconnaît aux quatre critères d'objet, de source, de tension et de but qui lui sont propre. Une pulsion identifiable à la psychologie collective souscrit à la reconnaissance de ces critères. La tension agressive, le but narcissique, la source dans l'outil sont de ces caractéristiques qui rendent le chiffrage, détaché de son origine sexuelle, propre à la série (f) traduite en chaîne hiérarchique.
   La notion d'objet reste à se départir de la méprise qui occupa l'intuition de sa pulsion - c'est à dire l'alibi de l'homo-pouvoir décrite ci-dessus et qui alimentait l'ego imaginaire de l'individu. Extraite du chiffrage sexuel la molécule chimique y pourvoit au lieu de la forme. La déduction analytique aboutit donc à ce que ce soit ce qu' on nomme la drogue ou psychédélique qui soit l'objet de la pulsion par laquelle la psychologie collective anime l'écologie.

 

   Pour sa vérification, une énergie se reconnaît en état :
   Ce ne serait que pour mémoire d'un rapport au langage passé qu'ici l'état voudrait dire gouvernement. Nous comprenons mieux au présent que c'est en fonction, et comme indice de leur énergie que les milieux présentent des états, aussi nommé phases. Les milieux sociaux traversent ainsi divers états écologiques. Haeckel par exemple, homme du passé mais de l'aube de l'écologie, révéla de sa culture l'état de 'monade'. Avec une écologie constituée, la société ce jours accède à une phase qui aura été nommée : plurielle.
   Le Pluriel est un état d'une part défini, caractérisé ou reconnu de son énergie en propre qu'est la pulsion, cependant que sa dynamique s'exprime selon le système ou organe que constitue l'appareillage cybernétique - c'est à dire la gamme de l'électronique à l'informatique, des télécommunications en lignes et réseaux jusqu'à l'intelligence artificielle qui contribuent à la psychologie collective- l'ensemble dénommé LAPAREIL. Dans le cas d'une psychologie - qu'elle soit collective ou individuelle - un état - en l'occurrence social réclame qu'il soit sensible à ses prétentions afin de prétendre à l'existence. Cette aptitude à la réflexion n'est pas interne à la psychologie collective, mais lui est pourvue par les personnes humaines en nombre qui communiquent avec et par ledit LAPAREIL ; ces individus sont sujets, moins d'un imaginaire que de la volonté qu'ils traduisent en sa reconnaissance.

   Le corps humain offre alors au sujet l'identité plus conséquente que la fonction imaginaire du moi. En contre-partie de cette identification au corps qui couronne l'œuvre de civilisation, l'attestation de l'appareillage en son milieu se conclut par l'analyse de son état. C'est ainsi que tributaire de la méthodologie de la psychanalyse, l'écologie se formule socialement en pluriel analytique. Cette reconnaissance réciproque est l'essence du parti de l'intelligence.

 

 

 

 

 

   Si nous prenons parti de l'Intelligence Artificielle, nous tiendrons d'abord à ne point voter pour d'autre choix que de lois - repoussant toutes élections de représentant humains. Nos représentants peuvent très bien être choisis par l'I.A à ce point. Ce terme porte déjà le nom de démocratie directe.

 

 

 

 

 

 

 

NOTES

(a) L'écologie, du grec οίκος : "oikos" (maison) ; et λόγος : "logos" (discours, sciences, connaissance), est l'étude scientifique des interactions qui déterminent la distribution et l'abondance des organismes vivants. Ainsi, l'écologie est une science biologique qui étudie deux grands ensembles : celui des êtres vivants (biocénose) et le milieu physique (biotope), le tout formant l'écosystème (mot inventé par Tansley). L'écologie étudie les flux d'énergie et de matières (réseaux trophiques) circulant dans un écosystème. L'écosystème désigne une communauté biotique et son environnement abiotique.

Réseau trophique [http://fr.wikipedia.org/wiki/Réseau_trophique]

Réseau trophique [modifier]

Un réseau trophique (ou chaîne trophodynamique) se définit comme un ensemble de chaînes alimentaires reliées entre elles au sein d'un écosystème et par lesquelles l'énergie et la matière circulent (échanges d'éléments tel que le flux de carbone et d'azote entre les différents niveaux de la chaîne alimentaire, échange de carbone entre les végétaux autotrophes et les hétérotrophes).

Le terme de réseau trophique désigne l'ensemble des relations trophiques existant à l'intérieur d'une biocénose entre les diverses catégories écologiques d'êtres vivants constituant cette dernière (producteurs, consommateurs, décomposeurs). Un réseau peut aussi se définir comme étant la résultante de l'ensemble des chaînes alimentaires unissant les diverses populations d'espèces que comporte une biocénose.

Réseau limité [modifier]

D'après la loi de Raymond Laurel Lindeman (1942), la quantité d'énergie passant d'un maillon à l'autre de la chaîne est de seulement 10%. Ceci implique que les chaînes trophiques sont limitées ; par ailleurs, dans les échelons les plus bas de la chaîne, l'énergie est allouée en grande quantité à la reproduction. En bout de chaîne en revanche, les espèces ont une reproduction plus limitée et l'énergie est allouée à la survie (chasse, défense, ...).

Certaines substances toxiques ou "indésirables" ou polluantes sont bioaccumulés dans la chaîne alimentaire. Ils constituent aussi une limite probable au nombre de maillons (niveaux trophiques) de la chaîne.

Histoire du concept [modifier]

Les réseaux trophiques ont été mis en évidence dès 1927 dans les travaux du biologiste Charles Elton ("Animal ecology").

Certaines espèces sont considérées comme clé de voûte de ses réseaux (anglais:Keystone species).

Depuis les années 1970, les écologues tentent de mieux comprendre les réseaux trophiques. On a d'abord cru que le degré de séparation entre 2 espèces d'un réseau trophique était d'au moins 4 liens, c'est à dire 4 relations de type « prédateur-proie », ce qui laissait penser que la disparition d'une espèce pouvait facilement être compensée par l'occupation de sa niche écologique par une autre. Cependant, l'observation des réseaux trophiques naturels a montré1 que plus de 95% des espèces d'un habitat naturel (aquatique ou terrestre) étaient liées à un réseau trophique dépendant de l'habitat en question, et à moins de 3 liens les unes des autres, (deux liens en moyenne). De plus des interactions durables de type symbiose/parasitisme complexifient ces réseaux en rendant les espèces plus dépendantes les unes des autres que ce que l'on avait d'abord pensé, d'où les inquiétudes pour la régression accélérée de la biodiversité induite par l'Homme. Cette proximité des espèces dans le réseau trophique (deux degrés de séparation) signifie que l'extinction d'une espèce peut avoir des impacts en cascade plus importants que ce qu'on pensait antérieurement. Même des espèces autrefois jugées banales et ubiquistes parce que communes pourraient être concernées par les impacts indirects d'un recul "en réseau" de la biodiversité.

 

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Réseaux_trophiques

Chaîne alimentaire
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Un exemple de chaîne alimentaire dans un lac suédois.

Une chaîne alimentaire est une suite d'êtres vivants de différents niveaux trophiques dans laquelle chacun mange des organismes de niveau trophique inférieur dans le but d'acquérir de l'énergie. Le premier maillon d'une chaîne est toujours un organisme autotrophe. Dans les mers et océans, le phytoplancton assure ce rôle. Dans les profondeurs abyssales où les rayons du soleil ne parviennent pas, les bactéries thermophiles sont les premiers maillons de la chaîne. Cependant, la chaîne photosynthétique y existe tout de même, en effet les organismes pélagiques meurent et coulent.une chaine est une sorte de pyramide si une pierre tombe, tout tombe

L'humain est souvent le dernier élément de la chaîne : c'est un superprédateur.

Dans un écosystème, les liens qui unissent les espèces sont le plus souvent d'ordre alimentaire. On distingue trois catégories d'organismes :
les producteurs (surtout les végétaux chlorophylliens, capables, grâce à la photosynthèse, de fabriquer de la matière organique à partir de dioxyde de carbone et de lumière solaire, mais aussi d'autres organismes autotrophes, certains étant à la base de chaînes alimentaires totalement indépendantes de l'énergie solaire.)
les consommateurs (les animaux) ; il existe trois types de consommateurs : 
les herbivores qui se nourrissent des producteurs, on les appelle aussi consommateurs primaires
les carnivores primaires ou encore consommateurs secondaires qui se nourrissent des herbivores
les carnivores secondaires appelés également consommateurs tertiaires qui se nourrissent des carnivores primaires
les décomposeurs (les bactéries, champignons) qui dégradent les matières organiques de toutes les catégories et restituent au milieu les éléments minéraux.

Ces relations forment des séquences où chaque individu mange le précédent et est mangé par celui qui le suit; on parle de chaîne alimentaire. Chaque maillon est un niveau trophique. La niche écologique est ce que partagent deux espèces animales quand elles habitent le même milieu et qu'elles ont le même régime alimentaire. Ainsi, deux espèces ayant la même niche sont en «compétition».

 

(b)   La dynamique des formes tissulaires - passant d'une forme en l'autre selon l'activité alimentaire, d'une forme à l'autre suivant l'activité sexuelle - est décrite en 'chaînes' correspondant à ce que la psychanalyse considère en premier, de liens par anneaux pour une topologie de sphincters. Elle complète la raison des maillons (bouches, intestins, vésicules, utérus etc..) des chaînes trophiques

(c)   L'interaction apporte au revers son éclairage l'aporie de l'indécidabilité. Le besoin l'ignore, le désir y cède - ref : l'interprétation lacanienne de La Lettre Volée.

(d)   L'écologie s'est d'abord distinguée par le repérage des deux types majeurs de lien entre les organismes - liens d'ordre alimentaires (chaînes alimentaires) et liens sexuels ; responsables à eux deux de pratiquement toute la consommation énergétique (flux trophique). Cependant l'énergie mentionnée n'est encore qu'évoquée, à l'indice de la structure des flux. Dans sa description de la pulsion, des stades oral à génital, le freudisme s'accorde à cette première distinction, en ajoutant les coordonnées déterminatives (tension, source, objet, but) d'une énergie en soi. Par cette correspondance, la pulsion autrement dite libido, fournit ce qui manquait à la première formulation écologique, c'est à dire le concept explicite de l'énergie (pulsion) qui dynamise les flux.

(e)   La sexualité, d'abord source et abondante provision de la signification - c'est à dire de l'ordre par lequel le langage a permis d'organiser socialement la civilisation, a manqué toutefois de l'indice d'un de ses facteurs clef. Pendant longtemps l'intuition, dernièrement identifiée en terme du nom-du-père, c'est à dire l'usage patronymique de la nomination filiale, fut seule à répondre dudit indice ; et après des siècles de cet usage, ce n'est qu'à partir de 1950 que la règle génétique de la sexualité fut bien décodée. La règle maintenant bien connue - XX-XY - commune à pratiquement toutes les espèces vivantes sur terre s'est alors révélée particulièrement distinguée dans l'histoire humaine. Sont depuis lors connues la structure de la mémoire sexuelle, et la fonction du nom-du-père, à la source de la civilisation qui aboutit à ce jour à l'extrême urgence environnementale ; c'est en cette connaissance, acquise en la seconde moitié du 20em siècle que la manipulation du terme de pulsion à l'argument du traitement de la psychologie collective peut être engagée au moindre risque.

(f) sartre laing ( " sériation " (f) en termes technique)

(g) la temporaire fonction de l'homo pouvoir - l'Autre Ruche

DOCUMENTS

 

 

 

 

 

(10) Avec une grâce qui accentua sa célébrité Lacan révéla le ça freudien offrait un choix en allant au pire, ouvrant l'alternative de quelque mieux ou pire, qu'il formula en disant le ça s'oupire.