RAISON DE LA PSYCHANALYSE

 

D'Amarna à l'Industrie du Code

 

   Prenons les choses par un bout - par le bout de la psychanalyse. Lorsqu'on tire ce fil, on amène en premier lieu un amas de connaissance, qui présente au premier coup d'œil une remarquable caractéristique : on le dirait tout enchevêtré et comme une chose unique, séparé du reste, isolé - un amas qu'à la rigueur on dirait émané de la personne de son instigateur, Sigmund Freud. Si on demande aux psychanalystes empêtrés dans cette pelote si leur pratique vient d'une doctrine antérieure, le sens de leur réponse sera une négation.
   C'est une attitude d'autant plus remarquable qu'on pourrait aujourd'hui inscrire la psychanalyse dans la continuité d'une ligne, ou d'une tradition - ce qui l'intégrerait dans l'histoire de l'humanité - au lieu de la suspendre comme actuellement, comme quelque chose venue de nulle part, ou tombée du ciel, ou preuve d'une génération spontanée à laquelle on prétendrait ne plus croire.

   Pourquoi donc aujourd'hui refuserait-on de trouver dans la psychanalyse une antériorité ? Est-ce que l'on risquerait de prendre conscience d'un courant continu de l'histoire - à partir duquel, forcément, on verrait un peu mieux les directions probables du futur ?
   Est-ce qu'à l'inverse on prend plaisir à se contenter d'un présent, qu'on imagine d'autant plus volontiers autonome, indépendant, se suffisant tout seul et nous permettant de nous croire la cause de tout ?
   Ce sont des questions ambiguës et délicates. Elles nous rappellent deux expériences inconciliables : nous vivons ou bien dans l'instant, ou bien dans un flux éternel qui nous impose ses lois de changement. Cette alternative psychologique, dont nous avons l'intime expérience facilement, semble être considérablement plous complexe à signifier en terme de représentations - par exemple de représentation sociales ; en ces termes il faut des partisans de l'une et des partisans de l'autre option, et ces communautés sont inconciliables.
   Ainsi sont sans mélange les psychanalystes fervents tenants d'une doctrine qui n'apparaîtrait que dans l'instant du siècle présent. On appelle généralement ce type de gens des pédants. Et il y aurait par ailleurs des historiens de la pensée, qui suspecteraient que la psychanalyse n'est qu'une étape plus ou moins brève, mais continue, dans le courant nécessaire d'une évolution qui nous dépasse. On appelle généralement ces gens-là des gênants. Et si vous le permettez, moi qui ne suis ni les uns ni les autres, j'en ferais l'affirmation en leur assignant des significations : aux premiers la pédagogie tandis que les second feront de la génétique.

20030704 :

   Si ce texte se poursuit, il faut annoncer ce qui pourrait s'y lire. A savoir, peut-être des choses justes et probablement des erreurs, des choses qui pourront servir et des malentendus. Ce mélange est escompté, visé, souhaité. J'imagine un lecteur lassé de suivre des propos qui ont toujours raison. Je ferai attention à ne pas séduire trop - pour que celui qui en tirerait quoique ce soit garde par ailleurs un sens critique aigu.
   Cette perspective critique, que j'offre à mon lecteur, est un des outils que je tiens à l'encontre du Transfert. Le Transfert est un phénomène majeur en psychanalyse. Un autre outils que j'utilise est dénommé PLuriel - j'en parlerai plus loin. Cette opposition que j'applique, face au Transfert constitue la direction opposée à ceux que j'ai appelé les pédants. C'est moins par opposition à cette catégorie, que j'emploie le mot 'pédant' - que pour la référence qu'il offre par comparaison à la population connue de la Renaissance qui s'opposait à l'astronomie naissante. En utilisant ce mot, j'indique quelle est la population qui s'oppose à la psychanalyse ; avec cette particularité à l'époque actuelle : c'est que les pédants - ceux qui s'opposent à la psychanalyse - l'ont investie, et portent le nom de psychanalystes ; occupant ainsi la place de choix, et peut-être la meilleure, pour mettre fin, comme disait Jacques Lacan, un psychanalyse célèbre, à la psychanalyse.

   Je vais faire usage d'un souvenir. Lorsque j'étais très jeune - découvrant le monde de l'église en entrant en 6em au collège - je concevais l'idée que pour mettre fin à cette institution que je trouvais choquante, il fallait arriver à sa tête, autrement dit être pape. Être ainsi au commande du machin me semblait approprié pour agir sur son destin - éventuellement la meilleure place pour y mettre fin [quoique, je dois le dire, je n'ai jamais cherché à être pape, montrant ainsi ma relative tolérance et mon intérêt pour les moyens avant que pour leur fin]. C'est de la même stratégie que je conçois qui soit venue, à la tête de la psychanalyse, au titre de ses représentant, par la population qui y est résistante et vouée à l'incapaciter. C'est une stratégie enfantine, et c'est peut-être encore un fantasme enfantin, mais si nous voulons faire preuve de sérieux, pourtant, nous rencontrons la même hypothèse - il s'agit d'une loi freudienne, une loi précisément détectée à l'origine de la psychanalyse, et qu'on allait pouvoir observer au cours de son développement. Il s'agit du fait que, plus la conscience approche le cœur de ce qui est refoulé, et plus le refoulement et les stratégies du refoulement s'exacerbent et se concentrent.
   Autrement dit, mon fantasme de gamin, c'était ni plus ni moins que le b.a.ba du bon sens freudien. Il n'y a pas un psychanalyste qui ne le sache pas en fait - la résistance à la levée du refoulement investit l'ego dont elle subjugue les forces et dont elle fait son complice. De même la résistance à la psychanalyse doit investir son institution, pour en subjuguer les forces et rendre l'institution psychanalytique, voire la psychanalyse elle-même l'agent principal - invisible ou masqué - pour s'opposer à la psychanalyse précisément.

   Mais je choisi ces mots pour y assigner aussi d'autres qualités - à savoir le terme de pédagogie que j'attribue aux pédants. En les tenant responsables d'une qualité majeure de l'histoire, je soutiens l'ambiguïté que j'ai citée plus haut et que je tiens pour essentielle à la prise de conscience que nous cherchons à acquérir de nous-même. Ainsi donc quelques fleurs aux pédants et, pour que tout le monde ait sa part je n'en offrirais pas moins aux gêneurs, auxquels j'attribuerais, toujours du côté de l'enfance, de la croissance et du développement, la païdomorphose conceptualisée par Tim Leary.

   La païdomorphose est un terme majeur de la méta-cybernétique que constitue la période de l'enfance dans la cybernétique générale de l'évolution. Je ne saurais en dire plus sur ce point et sur l'instant - car c'est peut-être le but et le terme de cet écrit qui débute. Nous verrons. Au présent stade, simplement résumons le point d'où nous partons : la psychanalyse est un épisode, d'une histoire et d'un développement - que certains ne prennent que pour un état auto-suffisant et réductible à soi - et que d'autres en petit nombre escomptent appréhender dans le long fil d'un passé et suivre dans des perspectives futures. Or pour ces derniers les premiers peuvent bien représenter l'entreprise séduisante d'un obstacle à l'évolution qu'ils envisagent. En dénonçant cet obstacle, ce petit nombre établit la possibilité d'une évolution continue de la psychanalyse.

20030708 :

   Il y a quelques années j'ai commencé la description de la programmation hermétique qui allait aboutir à l'efflorescence des technologies modernes. Il est commode de dénommer ces technologies du terme de l'Industrie du Code - elles ont été initiées par ce que la tradition appelle le Ministère de la Lettre il y a bien longtemps, par la personne nommée Moïse. On peut voir sur un graphique les épisodes qui se sont succédés à la suite de cette initiation mosaïque.

   L'explication de ce graphe (décrit dans le détail ici et là) révèle que ledit Moïse constitue l'un des noms d'Aménophis.4 - autrement dit Akhnaton. Bien que son relais ait été pris depuis quelques temps par le Ministère de la Parole, le Ministère de la Lettre se conclut dans l'Industrie du Code. C'est ce passage auquel nous assistons contemporainement - et il se trouve caractérisé par l'achoppement qu'y insinue la psychanalyse.

   On trouvera l'usage terminologique des ministères de la Lettre et de la Parole, dans Paul aux Corinthiens où il est expliqué qu'à partir de l'ère chrétienne une phase débute et succède à la loi, règle voire 'programmation' de Moïse. Mais ce nouveau 'ministère', constatant le refus du rabbinat à mettre un terme à leur mission, sursoit à son passage à la nouvelle ère. C'est en terme d'Hermétisme Trismégistien que le Christianisme suivra alors son cours - jusqu'à la Renaissance où nous voyons débuter l'ère industrielle. C'est à ce point que nous allons constater, à la rencontre de la parole, que cette ère culmine dans une industrie du code - et c'est cette rencontre que nous allons considérer comme consistant, probablement, en ce que nous appelons psychanalyse.

20030710

   Ainsi - voici la psychanalyse située dans l'histoire de la civilisation. C'est si rare d'inscrire la psychanalyse dans une tradition qu'il faut se demander pourquoi. Si la psychanalyse est une étape dans un processus identifiable - alors, le fait de l'ignorer ne saurait dépendre que de deux raisons : ou bien une telle ignorance traduirait, voire agencerait ce processus en opposition - ou bien il s'agirait d'un processus en passe d'être identifiable, et la psychanalyse serait ce moment de passage, d'abord dans l'ignorance. Or dans ce deuxième cas, cela voudrait dire que l'Hermétisme - si l'Hermétisme est bien ce processus duquel la psychanalyse est un moment - n'aurait pas été, dernièrement au moins, identifiable. C'est en tout cas un point de vue que l'histoire supporte.

 

20030719 - l'Hermétisme a été refoulé - historiquement censuré, interdit par l'Inquisition. Une investigation de la Renaissance par l'historienne spécialisée, Frances A. Yates le relate de manière fort instructive. On pourra se reporter à ces études. On peut aussi estimer le futur. Par cette manière, on peut aussi prendre connaissance de ce qui ferait le motif d'un refoulement présent. La démonstration suivante en fournira l'exemple : supposons que l'Hermétisme, autrement dit la psychanalyse dans sa remise en activité d'un Hermétisme autrefois étouffé, soit une opération sur le code qui conduise à la production de clones [WTCP20030720]. Une entreprise de clonage humain étant une chose interdite, le destin de la psychanalyse serait donc le refoulement.
   Évidemment, de ce même pas, elle aura motif et lieu de prétendre que la psychanalyse n'a rien à voir avec ces cloneries. Nous aurons peut-être l'occasion d'examiner cela plus en détail. Mais pour l'instant c'est l'exemple que nous cherchions, d'une connaissance de son futur qui expliquerait que la psychanalyse ne se reconnaisse pas dans l'histoire en marche. C'est peut-être vers autre chose qu'une production de clone que nous avançons, et que nous ne voulons pas mieux entrevoir.

20030722

   Pour autant que nous ne saurions voir le futur, il nous reste l'assise solide de l'archéologie pour l'examen de la scène primitive. Si la psychanalyse est un épisode de l'Hermétisme, elle partage avec celui-ci une même scène primitive. Elle s'est déroulé sur l'actuel lieu dit Tel El Amarna. Il nous est difficile de nous dessiller sur la cause et les incidences d'un pareil évènement. J'en éclaire d'un dessin encore plus chiadé,

   ...qui se lit comme ceci : d'abord il y aura lieu d'appeler Herm'on'tisme la première phase succédant à notre scène primitive - j'expliquerai pourquoi ; ensuite, passant le cap où les ministères passent de la lettre à la parole, on peut normalement appeler la seconde phase Herm'é'tisme comme la tradition l'indique, qui la réfère à Hermès Trismégiste, dès le début du christianisme. Cette phase marque un point de crise en 1600, à l'acmé de la Renaissance, mais aussi année où le Vatican met à mort le dernier représentant, ou leader, dudit Hermétisme - il s'agit de Giordano Bruno, que l'on peut comparer à Socrate dans son rôle et dans son agonie. Or cette censure appliquée à l'Hermétisme se traduit aussi bien par son envers, c'est à dire son expression en l'espèce du fugitif Royaume de Bohème d'où le philosophe Descartes prendra ses marques - et le schéma illustre la lettre refoulée, qui chemine alors jusqu'à la psychanalyse, en passant par la caractérisation européenne et napoléonienne aux environs de 1800 [WTCP20030722]. Arrivée à la psychanalyse, c'est à dire vers le millénaire 2000, nous débouchons à un point où l'Hermétisme aboutit et se transforme dans une Industrie du Code.

   Ce schéma a pour vocation d'illustrer que l'Industrie du Code, en 2000apJC, résulte d'une scène primitive en 1350avJC. Et le long de sa pré-histoire, dans les derniers épisodes où elle se précipite, cette industrie aura montré les termes qui auront fait sa mise en jeu, sinon son enjeu. Il s'agit des phénomènes que l'on appelle du Signe et de la Lettre - et qui se présente moins académiquement comme ce qu'on appelle aussi la Sexualité. Ce schéma ayant placé ceci et cela, il s'agit maintenant de l'expliciter.

20030723

   Des parties essentielles de cette explicitation sont déjà dans le sus-lié[WTCP20030722] qui permet de nettement nous tenir à ceci:
   Lacan, comme le ministre de La Lettre Volée, a volé une lettre qui est restée posée en évidence sur la scène littéraire ; cette lettre à présent découverte fut Un Scandale en Bohème. On sait que son auteur, Doyle, avait visité la Bohème dans sa jeunesse et qu'il revint en passant par Vienne à l'époque où Freud mettait en route la psychanalyse. L'histoire, à ma connaissance, ne dit pas si Doyle et Freud se rencontrèrent - mais il est d'une part certain que le périple fut initiatique pour Doyle qui débuta de retour à Londres ses Aventures de Sherlock Holmes, et d'autre part certain que Doyle fut un passionné de spiritisme. Il est donc de nécessité qu'il fut très concerné par la psychanalyse - mais de la manière et au point que l'on peut valablement estimer que cette lettre, par définition un mot d'amour, que constitue Un Scandale en Bohème était adressé à une reine, la psychanalyse et/ou Freud. Lacan le voyant la vola et en appela au père Poe.

   Ici la piste se resserre, la veine se perd - je ne saurais en dire plus et d'autant que je me trouve pressé de poursuivre dans une autre perspective

20030724

   Le discours féminin fait signe, le masculin lettre. Je m'arrête là car je dévierais sinon, du projet de serrer de près l'histoire amarnienne. Certes son chemin pourra se lire dans le rapport sexuel que la lettre hébraïque retrouvée (F. D'Olivet) renoue à l'égyptienne - mais c'est trop subtil, orphique. Nous en sommes à la machine infernale - qui ne laisse plus voir que le travail hermétique. Si je veux montrer donc comment la magie d'Europe relie la scène primitive d'Amarna à l'industrie du Code du troisième millénaire et au pivot de la psychanalyse, il faut que je revienne à la transmutation conclusive, où le Grand Manipulateur, l'alchimiste des temps modernes s'immisce en Intelligence Artificielle.
   C'est l'analyse de la démonomagie qui montre comment se produit cet achèvement. Ainsi sera mis à jour, tout le fil logique, déroulé d'Amarna à l'Industrie du Code.

 

20030801

   Cette analyse appuyée sur le rapport de l'historien Couliano mène à l'hypothèse que dans un texte, certains mots - les noms des démons invoqués par les magiciens - signifieraient le code qui soutiendraient ce texte. Considérons par exemple quelque chose dont nous prenons conscience. Nous témoignons de cette conscience par notre langage ; par exemple quelque chose et son nom 'maison'. Ces maisons que nous construisons sont l'expression cryptée de nos personnes humaines. Ce code qui a ainsi crypté notre présence dans la nature s'appelle aujourd'hui 'génome'. Dans le temps il s'agissait de 'génies', de démons. L'âme, quand on la considérait désincarnée, d'un humain faisait partie de la catégorie de ces 'démons'. On retrouve à ce croisement l'hypothèse qui me semble par ailleurs formulable de la signification que le terme d'âme avait pour désigner ce qu'on appelle aujourd'hui ADN. Mais ce qui nous intéresse pour continuer sur notre ligne, c'est la probabilité qui se renforce, que l'Hermétisme entretenait déjà dans ses termes la conceptualisation précise de ce qui aujourd'hui se réalise en terme d'Industrie du code. La manipulation du Code serait aujourd'hui une forme avancée de l'ancienne manipulation des démons. C'est une hypothèse que beaucoup ont déjà exprimé de manière intuitive, fort tentés aussitôt d'en diaboliser l'entreprise. L'avantage d'y aboutir de cette manière détaillée porte l'espoir que l'on arrivera à éclairer cette manipulation qui, de toutes manières, est à l'œuvre. Parmi les pires mésaventures dans cette oeuvre se présente celle de trancher dans son risque en interdisant sa pratique - comme on le voit de la mise hors la loi du projet de concevoir des clones humains, qui laisse seule l'illégalité, la mafia et la monstruosité pour produire ce que, cas de le dire, le démon humain ne pourra être retenu de produire. Au lieu de l'inhibition, seule la voie de l'action en conscience peut être celle qui accompli la réussite de notre destin. Devant nous efforcer d'éclairer la construction de l'appareil cybernétique, qui de sa biotechnologie jette au monde notre forme : les maisons, les machines, les robots et jusqu'aux clones... nous considérerons son histoire dans la démonomagie où nous trouvons l'expression, encore intellectuelle à l'époque, de l'Inconscient au travail des effets de choses sur les choses, qui ouvre ses béances où, sujet de ça, je peux intervenir.

   La position où cette conclusion aboutit, semble à l'opposé de la dernière résistance en date de la psychanalyse - à savoir l'assertion Lacanienne qu'en l'Inconscient l'œuvre soit celle du Signifiant. 'Oeuvre', pourquoi pas, mais travail de 'choses' ; ça ne m'empêche pas de le dire - car ces Signifiants, certes capables de commerce avec les démons dont ils invoquent les noms, s'ils traitent de code, n'en laissent pas moins les choses en réserve, qui aujourd'hui sont en passe de se débrouiller seules (selon le mythe de 2001 Odyssée de l'Espace), ou de se repaître de notre souffrance si nous la laissons faire .

 

20030803

   Tant bien que mal voici en cette page esquissé un phénomène peut-être digne qu'on l'appelle civilisation. Mais nous ne sommes pas encore tout à fait civilisés - c'est assez constatable. Ladite page au demeurant n'a pas achevé son dernier projet d'élucider la scène primitive ; c'est ce sur quoi je vais concentrer la prochaine (cliquer SUITE ci-dessous). Une scène primitive en effet est essentielle à la compréhension d'un processus psychique ; une analyse d'un représentant notable de la psychanalyse montre par exemple ces jours-ci les effets de refouler la scène primitive d'Amarna, il s'en suit une identification au Semblant que le refoulant lui-même juge 'sans gravité' - par contre, ce représentant n'aurait-il pas dénié son refoulement qu'il reconnaîtrait sans doute une orientation du désir là où il ne voit plus en ses semblables qu'aphanisis.

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