my response

Au texte ci-dessous de Dan Winter, William Théaux répond :

Dan Winter affirme la prépondérance qu'il estime qu'il faille donner à la physique sur le langage

voir ci-dessous (Dan Winter : ) " I appreciate your view that it is psychoanalysis that reveals the symmetry of evolution, however my view continues to be that- it is more detailed and ultimately more clear to understand the symmetry of evolution of consciousness by understanding electric field growth by symmetry ; and that psychological language ultimately only gets clarity from electric field theory (otherwise it alway decends into psychobabble) "

(Dan Winter : ) J'apprécie votre estimation que c'est une psychanalyse qui indique la symétrie de l'évolution, cependant je continue à penser qu'il est plus détaillé et finalement plus clair de comprendre la symétrie de l'évolution de la conscience en comprenant la croissance de champ électrique par symétrie. Quant au discours psychologique, il s'éclaircit finalement par la théorie de champ électrique (autrement il régresse toujours en bavardage).

Je soutiens - apparemment à l'inverse - que le langage doit être estimé en priorité ; à la manière dont Jacques Lacan désignait la Suprématie du Symbolique tandis qu'il plaçait la psychanalyse au cœur de la Cybernétique [Séminaire sur La Lettre Volée]. J'énonce aussi que la psychanalyse appartient à la physique, qu'elle en est le cœur, et que c'est par le langage qu'elle s'y exprime.

..ainsi..

Réponse - A :

   Je comprends et j'approuve l'intention de Dan Winter (l'importance du rôle et de la connaissance de la physique) - mais l'importance du langage, que j'ajoute ou maintiens, s'explique du fait que - si d'une part il y a plusieurs langues, cultures et civilisations - il semble n'y avoir qu'une électricité ; en d'autres termes, je ne suis pas sûr qu'il y ait une électricité britannique et une électricité chinoise. Il n'y a que le langage avec le code, son corrélatif, qui réalise la distinction entre les chinoises et les anglaises. C'est aussi le langage qui distingue les hommes et les femmes - le code les sépare absolument. Ainsi ne pouvons-nous pas nous réclamer de la physique uniquement ; le langage permet de distinguer des sujets.
   Également, si nous réclamons le détachement de l'histoire, nous étudions la structure de l'univers sans prétendre que nous sommes terriens. Une écologie du système solaire qui ne compte pas notre point de vue est semblable à une conception pré-copernicienne du cosmos, où la terre ne faisait pas partie des planètes. Un cosmos sans Terre, une histoire sans Histoire et une symétrie électrique sans langage sont exactement semblables à un langage qui inversement ignorerait les champs magnétiques, à une histoire du système solaire qui ignorerait l'Histoire de l'humanité et à l'étude de la terre qui ignorerait son espace ; il n'y a en fin de compte que le parti pris d'une suprématie du langage qui évite que, de la symétrie de l'électricité nous chavirions immédiatement dans une symétrie d'ignorances réciproques - et du langage et de l'électricité.
   C'est pourquoi je maintiens que le langage est de première importance.. surtout si nous l'appliquons à connaître ce que Dan Winter réclame, à savoir la connaissance de la fonction des champs électromagnétiques et leur relation à l'ADN. Sinon son importance, comme le dit Dan, n'est qu'un vain bavardage. Nous étudions le langage - non pas pour étudier le langage - mais pour étudier la physique ; et il ne saurait pas y avoir d'étude de la physique qui ne passe par une étude du langage.

Comme " le langage permet de distinguer des sujets " son étude, examen, analyse est également indispensable pour l'industrie génétique.
La conservation de l'ADN humain anonyme et en masse qui a commencé est comparable à l'usage de masse qu'on appelle autrement esclavage. Il faudrait reprendre à partir de là, la remarque de Socrate qui explique à Ménon que l'esclave est un individu qui pense, égal à lui-même. L'ADN que IBM ou le National Géographic conserve, sans prendre soin d'y tenir attachées les volontés individuelles, est un refoulement de l'expression de la liberté. La considération de la nature de l'électricité est également une fondation de l'esclavage que la distinction antécédente du langage démonte. Pourtant sans l'esclavage l'humanité n'aurait pas lieu, et la fin précoce de Ménon illustre bien la liberté qu'il laisse, aux esclaves qu'il a quittés.

suite - B :

Je me propose de prendre le point de vue suivant : incube & succube - sperme & oeuf - petit & grand ver * ; ces oppositions de valeur organisent une dualité de formes. Par rapport à cela, si on considère un mouvement de rétraction-extension, une onde de pression ou de tension, nous n'avons pas besoin de forme et nous raisonnons sur une unité. En effet, antérieurement à elles-mêmes, les formes dérivent d'une onde d'in-tension et d'ex-tension ; c'est à dire d'une alternative qui établit un rapport différent de celui d' incube/succube, sperme/oeuf etc... Ce mouvement alternatif (onde) permet un rapport de semblable ; mais c'est un paradoxe narcissique - un rapport entre semblable est impossible. Ce paradoxe est surmonté par l'usage des formes. Les formes sont basées dans un rapport de semblable que permet l'illusion procurée par le langage. Ainsi la compréhension des oppositions de forme (incube/succube, sperme/oeuf etc..) nécessite l'analyse du langage qui neutralise cette illusion.

J'ai proposé cette distinction logique pour indiquer avec plus de précision le langage. Sans langage, nous ratons l'ambiguïté qui caractérise l'illusion humaine d'indifférence, ou d'égalité, entre hommes et femmes. C'est un fait que c'est la versatilité, la transitivité, l'identification respective et réciproque entre homme et femme qui permet l'amour humain. C'est le langage qui supporte cela qui permet à l'incube de s'identifier au succube et réciproquement.

Avant le langage et sa physique supplémentaire - nous avons la relation de mouvement ou d'alternative in-ex-tension . Elle se traduit en une trace qui est fractale. Cette physique avant le langage n'est pas divisible - en incube et succube. C'est une physique abordée par Wilhelm Reich. La dévoration des testicules, c'est précisément une rupture avec cette physique (Thothal) et le début du langage (Isis commente l'immortalité de la physique Y qui traverse le champ vital) :

pic.10 :
The Name (patronymics)
sustaining the very-selfish gene (Y)
thru death

fig 10 :
Le patronyme (Nom-du-père)
préservant l'essentiel meme
(chromosome Y)
à travers la mort
comme à travers la physique
comme à travers le champ de marque
(voir 'marque' théorie freudienne)

Je suis absolument d'accord avec la proposition de Dan Winter
voir ci-dessous (Dan Winter : ) " the only measure of success for psychoanalysis - is the same test for success in electric field theory - does it teach our biology to make its charge field (KA) immortal (sustainable thru death). "	(Dan Winter : ) La seule mesure de succès pour la psychanalyse - est la même qui teste le succès dans la théorie de champ électrique : enseigne-t-elle notre biologie pour rendre son champ de charge (KA) immortel (préservé fut-ce à travers la mort) ?
Je précise que la notion que je soutiens de la psychanalyse - ma psychanalyse personnelle - se distingue de la culture du transfert ou plus précisément de la psychanalyse en résistance de la plupart de mes confrères psychanalystes en intention (quand ce n'est en contention). Ma psychanalyse en extension est une opération biologique qui préserve le champ de charge (angl:"charge field" - qu'elle nomme traces). J'en fournis la garantie en m'engageant dans la préservation industrielle de l'ADN.

note: je pense que ce que Dan appelle récursion électrique fractale * est ce que Freud appelle traces mnésiques externes (voir Moïse et le Monothéisme -dernière partie)

En résumé : sans le langage, la physique forme la condition de l'esclavage - qui dans l'ignorance sombre à la mort. Inversement le langage sans la physique forme la condition de la religion - qui se réduit à la religion de la mort. Ainsi le langage s'affirme comme la condition première de la vie qui se confirme dans la consécration à la physique.

suite de l'échange - message de Dan Winter - colone gauche (traduction DWT colone droite)

Ccommentaire/intervention par Daniel KOLOS

-----Message d'origine-----
De : Daniel Kolos [mailto:damilos@bmts.com]
Envoyé : jeudi 8 février 2007 06:18
À : Dan Winter
Cc : William Théaux
Objet : Re: implosions is dna's real electric psyche

Quite independently I have been working with two other researchers, Doug Benjamin in Michigan and Malcolm Dean in California. Doug and I have delved into the symbolism of ancient Egypt for some twenty-five years now. As you might well know, PHI is present everywhere, and Doug recently showed me the scientific answer to a question that I arrived at from a long study of duality.

For the sake of keeping things simple, duality is symbolized by two walls forming a corridor or two columns forming an entrance. The Freemasons have their two colums, Jachim and Boaz. In my early essays I also fell back upon the electromagnetic positive and negative pole, and something between these two helps propel even time forward. The same polarity occurs within every cell of the human body, and there the thing being propelled between these charges is life itself.

Ever since I learned about sine waves in Grade 10 (1960), these fascinated me, but it was not until a visit to Doug Benamin in December that I equated the life force with a sine wave. Even if the life force itself is a PHI resonance, we cannot be on a straight line, but rather on a sine wave, crossing the Golden Mean every time we go up, every time we go down, however many million times that may be per second.

My question to Doug was, what is the maximum give and take of our life force around the Golden Mean? He went straight to the 76 degree top angle of the Great Pyramid of Khufu, drew several other Golden Section related angels, and marked their distance from one another in degrees: the answer was seven degrees in either direction from the mean.

We have all kinds of "duality gateways," a term I have coined for apparent opposites, through which we are propelled seeking balance, the Egyptian Ma'at, and that balance would be PHI. Thus the Egyptian god, Amun, the hidden one, represents the gap between conscious and unconscious processes. One of the life's goals is to be able to access the unconscious. Jung accessed in through dreams, William access it through interrupting a group process, meditators access it by allowing visions to fill the void or vaccuum they created. Again, I believe PHI plays a major role, through the heart chakra's mediation, in a blanced moving back and forth between consciousness and unconsciousness.

Much easier to contemplate and see the balanced relationship between poles, are hot and cold, dry and wet, light and darkness. Our bodies are intimately connected to each of these, to the last one through the production of melatonin. And these are just the beginning of many more sets of duality gateways through which we are propelled moment by moment by reaching this PHI proportion, consciously or unconsciously, and each of these dualities are innate and biological (as opposed to abstractions like good and evil).

And while I am on 'systems', Malcolm Dean is the proponent and propagator of a scientific theory of Cognitive Thermodynamics, which, I suspect, is the way our life force processes information systems (and our culture processes information systems). I attach his basic theory because I find it more and more useful in both my inner, personal work and in my Egyptological researches.