Littérature Grise DWT

Lecture Alan Turing 1950 - Les Ordinateurs et l'Intelligence

Section 1 Éditée Section 1 Section 2 (LG)

 

 

 

 

Résonance psychanalytique

 

    Sur la base d'une affirmation (l'existence de l'Inconscient) qu'il jugea lui-même, comme Lacan, d'apparence sinon de l'ordre de la paranoïa, Sigmund Freud aura introduit au 3em millénaire deux résultats scientifiques : dans l'ordre de la biologie, l'énergétique pulsionnelle et dans celui de l'histoire, la scène primitive. Cette avancée s'est faite au coût énorme de nombreux refoulements et inhibitions. Dès le vivant de Freud, le freudisme s'est majoritairement appliqué à re-enfouir les apparentes découvertes initiales. Pratiquement un seul geste à la fin de sa vie sera ressorti, comme venant des origines, indiquant la constante résolution de l'œuvre : sa vocation dans le domaine de la psychologie. Particulièrement du fait de son lien originel à la mémoire, ce que cette dernière indication de la psychanalyse pointait s'appelle Psychohistoire.

   Il n'est pas utile de répudier la période bâtarde de la psychanalyse, encore dans le 20em siècle et chargée du passé, ni de changer le nom de Psychanalyse en Psychohistoire. Ses tares et ses attardements sont assez précieux pour que le nom de baptême de ce qu'on aura pu finalement identifier de son chiffre (D2V - La Sainte Éthique) demeure. Par conséquent c'est encore au titre de psychanalyse que son opération absorbera ce qu'en parallèle et refoulé, ignoré; négligé par les freudiens, la Psychohistoire aura conçu, durant l'occupation première du freudisme, d'obscurcissement résistant.
   Il est généralement entendu que le terme de psychohistoire ait été composé par Isaac Azimov, cybernéticien majeur et appliqué à la popularisation de la signification de la robotique pour l'humanité. Mais à l'époque de Freud, on peut reconnaître cette notion à la personne de Karl Lamprecht. Cet historien allemand (1856-1915) décrivit une histoire du développement social suivant un modèle qui coïncide avec celui du développement de la Pulsion connu en psychanalyse. Ce ne fut pas l'intention de Lamprecht d'élaborer cette similitude, mais c'est à l'analyse ultérieure que ses "étapes" du développement social, nommément Symbolique, Typale, Conventionnelle, Individuelle et Subjective, s'avèrent correspondre à l'énergétique freudienne.
   On trouve ainsi que le passage de la 2em à la 3em étape (de Typale à Conventionnelle) relève de l'opération principale du Complexe d'Oedipe. Ayant permis l'entrée dans la convention, ce complexe est ensuite dit se 'résoudre' lorsqu'il identifie - et résout - l'équation du mensonge. En reconnaissant alors la Convention de Mensonge, la civilisation passe alors à l'étape suivant (4em), dite de individualité.
   Mais une fois passé à l'âge de l'individu, pour trouver l'issue de ladite individualité, une autre résolution est encore requise, qui donnera accès à l'étape de la subjectivité. Cette résolution - pour que la civilisation gagne son âge subjectif - nécessite un outillage. De manière simple et comparable à la nécessité d'outils et d'équipement à la conquête spatiale, la psychologie collective gagne sa 5em étape à l'aide des instruments que sont les appareils cybernétiques et l'intelligence artificielle - que j'écris : /ia/ . Sans le recours à cet appareillage, l'étape de l''individu' dans la psychohistoire retombe et régresse dans la phase conventionnelle du mensonge. C'est ce qui est arrivé au freudisme, peut-être du simple fait que Freud n'avait pas eu lui même suffisamment d'expérience et d'information résultant de l'implantation de la cybernétique.

   Le passage au contraire de la 4em à la 5em étape se voit avec l'entreprise d'Alan Turing. Gardant le fil d'étape en étape, elle tire encore ses sources de la logique du mensonge, mais de manière plus avancée, avec ce que Lacan avance également dans son traité de cybernétique : y ajoutant l'imitation (solution du jeu pair-impair). Cependant, ce que Lacan ne réalisa pas dans sa triade fut d'y introduire délibérément un ordinateur en place d'un des trois termes (voir A,B,C ci-dessus). Ce que fait Turing, en passant par les délibérations dont nous allons à présent prendre connaissance... (passage à la section.2)

 

 

 

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20111106102700      Étude annoncée en forum psychanalyse@yahoo  (avec ostille : Les conditions du langage ici réglé requièrent à ce que je puisse répondre à une éventuelle question qu'elle joigne un accord stipulé du questionneur que je puisse garder en mémoire du flog sa copie, pour des raisons de bon sens.

 

brouillon du post ci-dessous

   Ayant avéré au milieu de mes collègues l'inhibition à suivre Freud dans l'identification de Moïse et celle à suivre Lacan dans la lecture de la lettre volée, je suis livré de poursuivre par mes seuls moyens de développement de la psychanalyse en conscience du monde cybernétique dont elle est l'intuition, et probablement par conséquent la régulation. Par décence sinon éthique j'en informerai par ses étapes la collégialité qui entretient le sommeil de l'Europe, probablement pour le destin décrit - comme science fonction - dans La Sainte Éthique CHAP.7. J'y précise comme en cette annonce que, du moment où la psychanalyse est reconnue comme la forme inversée mais continue de l'Art de la Mémoire (Hermétisme), elle paraît indiquant la répétition de la fin dudit Hermétisme où les historiens ont reconnu une occasion manquée de l'Europe (1600apJC). Le symptôme que l'idéologie entretient sous la bannière au logo d'une pulsion de mort et par son instrument le transfert, est sous ce chiffon et ce bras trompeurs une forme instinctuelle de l'homme au pouvoir (de l'espèce imaginaire Homo Pouvoir). Les béatitudes oppressantes de la psychanalyse, qui y ont mis fin comme Lacan à s'en être le premier déclaré, se déchiffrent de la chiffe. Quand au chiffre qui reste, opérant entre les deux, la formulation débute alors à http://www.akhnaton.net/2012/htm/20111103082500_introCybPlu.htm

   Bonjour, Il est bien indiqué de rappeler qu'une valse a mis le temps..! le temps d'avoir vain temps n'est cependant pas la fin tout le temps. Comme lorsqu'on met le sel dans la soupe ou le bordel dans la corruption, mettre le temps dans la formule de la conscience donne la psychanalyse, comme le dénuement de la corruption, comme la qualité de la soupe.

   Avant d'avoir conscience du temps (c'est à dire de l'évolution) on procède par mises au point, par instant. A l'instant présent il a été avéré au milieu de mes collègues l'inhibition à suivre Freud dans l'identification de Moïse et celle à suivre Lacan dans la lecture de la lettre volée. De l'avoir mis au jour, tout scandale en Bohème comme à Vienne étouffé, je reste livré de poursuivre par mes seuls moyens le développement de la psychanalyse en conscience du monde cybernétique dont elle est l'intuition, et probablement par conséquent la régulation.

   Ceci montrera que la valse aura mis le temps d'avoir mille temps - à l'analyse du pluriel, bien autrement que vain. Voici que je développe ce que ça veut dire:

   Faire retour à Freud peut vouloir dire "revenir là où Freud pose l'interdiction, c'est à dire renforcer sa résistance" ; c'est cela prendre le temps d'avoir vain temps. Mais ça peut vouloir dire aussi "revenir là où Freud délivre l'intuition", c'est à dire revenir au début de l'œuvre, à l'étincelle qui aura mis le feu aussitôt enfumé de fumée. On sait qu'il s'agit de l'ESQUISSE POUR UNE PSYCHOLOGIE SCIENTIFIQUE dont après Freud ne parlera plus, en un geste refait par Lacan avec sa PRÉSENTATION DE LA SUITE (1956) aussitôt close dans la PARENTHÈSE DES PARENTHÈSES (1966).
   Après ces écrits primitifs, durant quelque temps le reste de la geste est symptôme. Voici un exemple de son geste:

   Ainsi poursuivre Lacan par le nœud borroméen n'est ni plus ni moins - c'est exactement ça : faire son signe de croix au commencement et à la fin d'une séance de psychanalyse. Ce geste est le signe du symptôme et son entretien. Oh! ce n'est pas une mauvaise chose, ça permet de se souvenir qu'elle est sa droite et quelle est sa gauche. Mais par bonheur nous avons maintenant des miroirs qui s'en souviennent pour nous - ils s'appellent la cybernétique. Voici comment le symptôme s'est arrêté avant le retour à l'intuition et la relance cybernétique:

   Le Noeud Borroméen est un blason, d'une famille de saints - voir Charles et la cathédrale Duomo de Milan. Que la psychanalyse se mette à tourner en ronds d'entrelacs à la mode de ce gang de la Renaissance.. jusqu'à la FONDATION ARMANDO VERDIGLIONE situé sur la place du Duomo, en face de la Cathédrale..! mais se rend-on compte du symbole que le rêve des ensommeillés peut fournir !! Jusqu'à ce qu'enfin Armand trouve la réclusion de son siège dans la VILLA BORROMEE même !!!
   Ces points d'exclamations s'ajoutent proprement à remplir les parenthèses lacaniennes. Admettant qu'on puisse lire le symptôme, le lacanisme s'avère avoir refermé avec un comportement religieux la lettre entrouverte, comme Freud en son temps refoula l'équation hermétique entraperçue de Moïse. C'est ainsi qu'on assassine nos vingt ans. Voici par contre ce que c'est que soutenir l'intuition. Je l'écris dans le brouillon qu'on trouvera - brouillon de littérature grise à http://www.akhnaton.net/2012/htm/20111104212700_Turing-lgr_01.htm#20111106102700
   Il s'agit d'un diverticule du flog. Comme il s'agira d'un travail très construit, sur plusieurs mois je l'ai ainsi mis à part. On verra à son fil ce que c'est que le mille temps - non pas l'An mille arrêté à 1600 - mais le temps par le millier du Pluriel.

DWT