Accueil Site

Accueil Dossier
     

page A : Littérature Grise
page B : Génétique
page C : Psychologie Collective
page D : Psychanalyse

Par Dr William Théaux

NEXUS 2004-5

 

 

Cette page est un centre de liens, nexus relatif à quatre pages qui ont été écrites en même temps les unes que les autres et demeurées pour certaines parts en état de brouillon. Elles sont donc enchevêtrées et moins lisibles qu'interprétables - sujettes à erreurs. Contre des interprétations égarées, la meilleure contention qu'on puisse leur donner est celle d'une page de regroupement - explicative et introductive telle que celle-ci.

ATTENTION - seuls des extraits de certaines pages ci-dessous liées sont édités, le tout sera complet au plus tard fin janvier 2005 - ATTENTION

1

Corps en Littérature Grise

   De ces quatre une première fut en partie éditée - dès son édition son contenu était plus long, mais atteignait cette thèse qui trouve dans la littérature grise ce qu'on appelle corps humain (car celui-là, on ne s'en figure qu'une forme - le corps sujet humain pourrait bien vivre selon d'autres formes, passer dans d'autres états ; il est donc, sinon nécessaire, raisonnable d'estimer le définir d'une manière plus universelle que par une forme particulière, et la Littérature Grise pourvoit bien cette fin).

 

2

Traces génétiques d'expression externe

   Mais pour rapporter un corps biologique à de la littérature - soit à la logique de sa Lettre - au moins faut-il délinéer sa jonction à la logique de son Code ; ce que la psychanalyse rend possible - du moins suivant la thèse produire par Freud de l'existence de traces mnésiques d'expression externe. C'est une seconde page consacrée à cet angle génétique qui montre que Freud n'avait pas tort de faire côtoyer sa théorie à celles de l'évolution, car son concept de telles traces s'intègre plus aisément qu'à son époque, à la génétique moderne.

 

3

Traces mnésiques de la psychologie collective

   Soutenir un pareil progrès dans ces domaines majeurs demande d'une part que l'on étaye de manière très solide nos assertions. C'est à cette fin qu'est isolée une troisième page qui étudie le livre fondamental de Freud, particulièrement à la recherche de ces traces et de leur définition. C'est en faisant cette vérification qu'il appert qu'à l'investigation de ces traces, Freud - qui n'en fit qu'hypothéquer l'existence - ne les trouva pas, pour la raison qu'il y appliquait lui-même un refoulement. Comme tout acte manqué, c'est une manière après-coup d'en faire la preuve ; en l'occurrence, preuve que ce qu'il cherchait de psychologie collective se trouvait dans l'hellénisme et - partant - probablement dans la forme démocratique d'Athènes.

 

4

La Topologie Refoulée de Kepler ; de l'Hermétisme au Présent

   La quatrième page ici fut en fait la première débutée ; elle fait particulièrement le lien à la Littérature Grise, laquelle date de longtemps si elle est corps humain effectif au lieu de la forme relative à l'imaginaire du moi. De fait, non seulement les carnets de Newton confortent la compréhension d'une genèse de la Littérature Grise, mais aussi une lecture de Kepler - dont ici le résumé de la page :

   Il est dommage que cette bévue freudienne ne soit pas décelée par ses disciples - plutôt forts en organisation du refoulement ; qui permettraient à l'occasion qu'un nouveau mur ne signât pas la honte du monde sur la Terre Sainte-même. Ce ruban de béton en rappelle un autre, désignant la bêtise qui traduit de l'Inconscient la volonté-de-n'en-savoir, en bande dite de Moebius. Ce qui donne raison de croire que la prouesse des 'psyconformes' en topologie est de semblant ; et motif qu'on dégage la topologie réellement, d'une histoire de la pensée humaine où elle était de longtemps. C'est une quatrième page qui montre que l'astronomie des premières heures - Kepler l'attestant contre les préjugés dont on brouille la pensée hermétique - fut une entreprise qui n'a rien à envier à la psychanalyse contemporaine ; la rangeant plutôt dans la domaine de la régression. On aboutit donc à un curieux croisement :
   Contre les Lumières la Renaissance désignait les Pédants, lesquels aujourd'hui ont usurpé le titre de Psychanalystes - 'usurpé' car au lieu des Lumières ils continuent à faire de l'ésotérisme en le dénonçant là où ils le projettent. On peut rétablir un bon ordre des significations, en distinguant de l'ésotérisme l'Hermétisme qui substantifie effectivement les Lumières. De la sorte la psychanalyse est de l'ordre des Lumières et continue l'Hermétisme. Elle a été prise en otage durant une phase constitutive de résistance par l'ordre des Pédants qui en font un usage ésotérique.

   Par ailleurs, resituer Kepler dans la perspective homogène qui va de l'Hermétisme à la psychanalyse, permet l'identification d'une dimension grise de la littérature keplérienne - c'est à dire non seulement littérature grise pour cause d'occultisme avéré comme dans le cas des carnets d'I.Newton, mais cachée pour cause d'un préjugé, sinon d'ésotérisme, et révélée par une lecture analytique, presqu'une traduction de l'idéal texte keplérien

DWT
©20041218205305

 

Accueil Site

Accueil Dossier
     

page A : Littérature Grise
page B : Génétique
page C : Psychologie Collective
page D : Psychanalyse