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CYBEK 


TECHNIQUE DE L'INFORMATION
ET
RESSOURCE-SAVOIR

Copyright © Dr William Theaux 1999
page initiale en Anglais

 


note préliminaire :
on appelle ici Gestion du Savoir le terme anglais Knowledge Management 
qui signifie la gestion et exploitation industrielles du Savoir dans l'entreprise

  

TABLE des MATIERES

convention
avertissement

résumé

Introduction

Cybernetique - Technologie de l'Information - Linguistique
Le Signifiant et sa Logique 
Le Code et sa logique 

Psychologie Collective

Formules du Savoir

Identificatin Sociologique de la Cybernétique

Clinique et Pratique

 

 


CONVENTION

    Definition de 'Cybernetique' - An lieu de Technologie de l'Information (T.I.) j'emploie 'Cybernetique' qui est équivalent, en plus originaire et mature que la notion d'une science usuelle des processus de l'information. C'est aussi une manière de détecter et réduire la redondance qui loge dans l'expression 'technologie de l'information'. Information and Technologie sont équivalents et en une seule représentées par la Cybernétique. Quant aux formules déjà acquises de la Cybernétique, elles apporte d'emblé leur efficace à la conscience émergente qu'indique l'expression de Gestion du Savoir.

 



AVERTISSEMENT

En suivant les principes qui règlent la Littérature Grise, textes et travaux en CYBEK sont accessibles en cours de construction. C'est (ou ce fut) ainsi le cas pour la page présente qui intègre la linguistique et la cybernétique à la Gestion du Savoir social(e) et pratique, laquelle toujours en construction voire jamais produite. Cette conceptualisation de la GS serait en contradiction avec elle-même si elle n'était développée dans un environnement public.

 


RESUME

Cette page décrit comment la Science des Représentations et Significations, connue comme la Linguistique, cerne et réduit deux notions majeures (Technologie de l'Information et Gestion du Savoir) en tant que deux redondances, indiquant que la technologie est information et que sa gestion est savoir. Ce traitement de nos concept est en lui-même une gestion - c'est à dire une savoir exprimé en formule algébriques.

 


 
 

Introduction

   L'activité dénommée Gestion du Savoir qui prend de l'importance dans la gestion d'une entreprise, reste néanmoins flanquée d'une définition vague. Sur ce point, intuitif en l'état, la psychanalyse peut apporter un éclaircissement radical. Il est essentiel de noter que la psychanalyse n'opère que comme un lien - entre les éléments de la réalité, et en l'occurrence en intégrant l'élément que constitue Cybernétique. La fonction principale de la psychanalyse et de révéler et de maintenir à sa place ce qui est évident à l'encontre de la résistance. Par exemple, il est communément admis, et presque trop évident, que la Gestion du Savoir d'Entreprise (GS/GSE) soit une émergence que l'on doit à la Cybernétique, autrement dite Technologie de l'Information. Du fait de son évidence, ce rattachement est négligé; il est pourtant nécessaire de maintenir une considération constance du facteur cybernétique dans la GSE.
   En fournissant ses formules, la psychanalyse maintient la condition essentielle et intriquée de la Cybernétique dans toute considération de la GSE.

   Cette page décrit pour commence quels sont les éléments Cybernétiques qui intéressent la Gestion du Savoir. Puis il décrit un terrain de la GS (le domaine humain/social) bénéficiable de ces éléments. Les formules spécifiques du Savoir fournissent la troisième partie. Elle est suivie par l'intégration spécifique de la Cybernétique à la GS. Une application concrète conclue l'essai.

 

CHAPITRE 1er

 


Cybernétique et Linguistique
ou
CODE & SIGNIFIANT

La contemplation scientifique de la nature réalise une distinction au sein de la vie en son industrie. La vie porte un processus de signification que montrent le langage, le comportement et les instincts - aussi dénommé "système de valeur" - et porte aussi une séquenciation de code, social, civil, chimique, génétique etc... Le Signifiant (sens) et le Code (ordre) se correspondent mais diffèrent. Leurs domaines s'interpénètrent ou souvent se couvrent - c'est par leur logique qu'ils sont distincts.

 

Exemple Général

Le cerveau, le corps humain, ne fait pas de distinction entre les phénomènes tant que celle-ci ne s'impose à sa perception. La discrimination entre les logiques de Code et de Signifiant a été imposée à notre perception par les effets des technologies moderne de l'information et particulièrement sa science qu'est la cybernétique. Tout en couvrant les domaines de l'électronique, les T.I, les réseaux, l'Intelligence Artificielle, la robotique etc.. en tant que science des relations entre les systèmes artificiels et la nature, la cybernétique a imposé la perception d'une relation entre données et signification (parfois nommé méta-donnée) au sein de l'information. Ce n'est au demeurant pas la moindre des choses que cette discrimination soit celle qui permette une identification au sein d'un environnement.
Données et Signification constituent notre Savoir actuel. Mais si le degré cybernétique de notre technologie s'effondrait demain, ce Savoir serait sans doute la prochaine chose qui disparaîtrait. D'admettre que notre Savoir actuel soit autant un effet de la cybernétique, qu'un sujet moderne est un effet de l'Inconscient, nous permet de réaliser de manière stable et constante, que le rôle de l'appareil cybernétique dans la société doit et devra toujours être intégré à toute définition du savoir. Un exemple récent nous permet de le voir :

Le Gouvernement et l'Académie, le Commerce, l'Industrie, sont actuellement en instance d'identifier ce que les bibliothéquaires ont commencé à appeler Littérature Grise (en d'autres termes, les textes temporaires, en construction, notes etc... en contraste avec une Littérature Blanche qui représente les documents officiels, édités et publiés). Un même impératif amène à distinguer, dans le domaine de la Gestion du Savoir, un Savoir Tacite et un Savoir Explicite. Tous les observateurs admettent que cette identification/distinction est rendue nécessaire par la fonction cybernétique (Texhnologie de l'Information, Internet, réseaux, programmation etc..). Avec cet exigence de la cybernétique et son ordre, nulle entreprise n'était intéressée à reconnaître une blanche et une grise littérature. L'usage de la lettre n'était pas en soi discriminant ; sauf pour quelques philosophes à la fonction d'exclus. Cette distinction s'est imposée à la perception de l'esprit et de la collectivité sous la pression de la cybernétique - et elle mènerait, cette distinction, à une catastrophe si la cause de la cybernétique n'était pas sans cesse rappelée et reconnue en même temps que son exercice ; la psychanalyse révèle que pareille omission/oubli du facteur à la cause de notre perception, constitue et aboutit à une pulsion de mort (Thanatos).
A l'inverse, lorsque l'on admet la nécessité de compter la cybernétique comme un facteur réel de notre savoir, nous pouvons l'observer et, en l'étudiant, nous réalisons qu'une pareille reconnaissance de l'intervention de la cybernétique dans l'espace du Signifiant (la Littérature) entraîne une régénération du Code (organisation). Ceci a été décrit dans le contexte de la littérature. C'est ce que nous allons ci-dessous considérer plus en profondeur et dans la perspective du Savoir en général.  

  Notre première observation note que la distinction entre Données et Significations s'améliore dans la distinction entre Code et Signifiant :  



Le Code:

Le système du Code est constitué d'éléments qui représentent quelque chose  pour quelqu'autre chose   (par exemple le code d'un ordinateur représente une commande pour un clavier, d'une société représente un salaire pour un travail, en biologie une molécule pour un gène) - cet définition si simple diffère pourtant subtilement de celle du signifiant linguistique, dont on peut toutefois tirer les même conventions de formulation ; ainsi le Code (l'élément 'C') est au-dessus et séparé par un trait d'une certaine chose 'x1', signifiant qu'il 'représente' x1 pour une autre chose, x2 :

 
Fig 01: formule du Code
Une logique à trois places - topologie tripartite - une fomule de la Relativité

Nous voyons d'abrod que cet algorithme représente une donnée (un nombre 'C' représente une certaine longueur, 'x1'). Mais il révèle déjà la noture plus complexe que nous ne le croyons d'habitude ; car une longueur ne tiens pas de soi-même - elle est relative et doit être attribuée. Le code, ou le chiffre d'une donnée la rapporte, la représente sur un principe, ou une échelle. Fig 01; un centimètre, 'x1' par exemple est représenté pour un système métrique 'x2'
D'importants développement résultent de la conscience de la Structure de Code à la base de nos perceptions. La prise de conscience de la relativité a déjà montré des conséquences techniques multiples ; une analyse soutenue de cet alogrithme si simple, mais déjà trine et relativement complexe ('C', 'x1', 'x2'), génère une logique qui surdétermine le code lui-même et ses éléments. Dans le contexte d'un environnement, cette surdétermination peut devenir tout à fait complexe ; elle atteint et passe en cela par le Signifiant (voir ci-dessous) mais peut déjà constituer en elle-même une logique. C'est ainsi et par exemple la génétique, dont on suppose que le code prouve une aptitude à s'organiser, avant que le degré Signifiant l'assimile à un degré de conscience. C'est ainsi que la philosophie a pu prétendre que d'une base seule de structure de Code (Fig 01), une logique de Code devait être portée à notre connaissance.
Cette logique a été décrité et dénommée Logique Sérielle par l'Existentialisme à la suite et dans sa réflexion des développement de l'âge moderne.

La Logique Sérielle a établi sa fondation sur la Sociologie :

Les prémisses d'une description d'une Logique de Code peuvent être trouvées dans la philosophie conclusive de Friedrich Hegel - tandis que l'initiation à la Cybernetique peut être détectée plus tôt, dans les derniers moments de la tradition Hermétique, c'est à dire tout autant dans sa répression(Note10). Toutefois, et bien que Hegel participait déjà de l'Ere des Masses, la Cybernétique n'était pas à son époque encore assez apparente ni prégnante au point de fonder et porter l'argument de sa philosophie. Plus tard, son successeur Jean-Paul.Sartre est encore connu en tant que philosophe. Mais lorsque Sartre refusa le Prix Nobel à la fin de sa carrière, il indiquait pour n'être pas évoquée, la qualité scientifique de ses écrits sociologiques. Car en fait, faisant progresser la connaissance qui avait été accordée à son temps par la phénoménologie de Hegel, il participait de l'âge de l'électronique débutant, durant lequel il décrivit explicitement la Logique Sérielle que son disciple, le psychiatre anglais Ronald D.Laing, formula de manière achevée dans le domaine d'une psychiatrie sociale (nommément l'Anti-Psychiatrie). Dès lors, la Logique Sérielle était toute proche du champ sociologique de la perception sociale, des mentalités, croyances, idéaux et connaissance - c'est à dire en condition de donner corps à une théorie du Code - jusqu'à la génétique en cours à ce jour, et l'écologie en perspective de demain.

Néanmoins, cette étape a pu se construire et se conclure en liant et combinant cette logique sérielle du Code, avec une autre logique - que l'on dit du Signifiant - qui est la science de la signification et qui est décrite concurremment par la psychanalyse.
 



Le Signifiant:

Une conception scientifique su signifiant a pris corps avec la Linguistique, à la fin du 19em siècle (Ferdinand de Saussure) - elle a ensuite été soutenue et approfondie par le psychanalyste Jacques Lacan. En 1960 Lacan projetais de mettre en formule la consception encore intuitive de l'Inconscient par Freud. Il élabora une formulation jusq'au degré de l'algèbre en utilisant la fondation saussurienne. Dans l'algèbre de Lacan l'algorithme du Savoir fait usage du symbole S2 (Signifiant second).
L'idée de Saussure, soulignée par Lacan et le structuralisme, avait été que les objets de la linguistique, le signifié et le signifiant tenait d'une logique différente de celle du Code en ce que le représentant, en ce cas nommé Signifiant, représente  quelque chose pour un autre Signifiant  au lieu de pour une ou quelqu'autre chose, voire autre signifié. Ainsi, en comparaison avec celui du Code, peut-on écrire l'algorithme du Signifiant :

  
Fig 02: formule du Signifiant
Une logique à quatre places - topologie quadripartite

L'algorithme du Signifiant indique qu'un 'premier' Signifiant (S1) en implique un autre, qui représente son savoir (S2). Ceci règle une logique différente de celle du Code. La formule lacanienne (Fig 02) montre que cette logique (S1;S2) s'est hissé au-dessus du signifié (s', s'', s'''...), dont elle semble être devenue indépendante. Dans le domaine personnel de l'expérience humaine, ceci s'éprouve dans l'impression d'indépendance des pensées. Dans le domaine de la science, ce clivage est responsable de son progrès puiqu'il permet de formuler le Savoir ; mais ne réduit pas son handicap puisqu'il génère une industrie qui peut également perdre contact avec la réalité. Deux exemples peuvent illustrer cette situation : le cas de systèmes d'opération qui permettent à des programmes de communiquer entre eux dans être liés à la machinerie qui les héberge ; on y trouve la présence du code néanmoins, dans l'interface que constitue ledit 'système d'opération'. Le deuxième exemple, que l'on trouve en biologie et qui devra être détaillé, est celui de la situation qui permet le rêve.

 

La Logique du Signifiant a établi sa fondation sur la Sociologie :

Durant le 20em siècle, l'expression majeure de cette logique a été décrite, en tant que sociologie. C'est Emile Durkheim, en Europe, qui a suggéré que l'organisation d'une société était moins déterminée par un apparent idéal, ou par causes directement matérielles et/ou économiques, que par une pluralité de significations manifestées en professions et rôles, productifs (Division du Travail) - éléments constitutifs d'un monde social qui ne peuvent exister par eux-même, un par un. L'expression de travail à la chaîne s'entend d'une chaîne de signifiants qui ne sont pas linéaires (sériels) en ce cas - comme l'industrie d'extraction d'un minerai ne produit aucun signifié sans une industrie de transformation, puis de mécanique, puis de commerce, de mode etc... Etablissant un statut de la matière première que le Marxisme aura laissé en l'état, la sociologie de Durkheim l'ouvre en éléments qui tiennent tous au regard d'un autre. Le modèle linguistique de Saussure s'applique donc à la sociologie occidentale, dont l'industrie constitue des discours, lesquels opérant dans un environnement comme dans un langage préposent à celui qui, de la psychanalyse, donnera le sens de l'écologie.

    

 


 

  Code et Signifiant s'indiquent de deux logiques qui, se combinant, organisent la Cybernetique  
On remarque aussi par deux fois que ces logiques sont associées à la sociologie.
Ceci s'accorde à la nécessité que la Cybernétique, dans la mesure où on la considère comme facteur du Savoir,
atteste de son lien avec la dimension sociale. Il convient donc à présent de voir pourquoi et comment la sociologie, et la cybernétique, réciproquement s'appellent et mènent à l'autre.

 

CHAPITRE 2nd

 


Psychologie Collective   

La (seule) présence de l'Intelligence Artificielle (autrement dit la Cybernétique) rivalise avec la relation humaine individuelle avec sa propre psychologie collective. Dans la mesure où l'individu néglige la surdétermination de la psychologie de masse sur ses pensées, il établira une relation paranoïaque avec l'intelligence artificielle ; inversement, la prise en compte par le 'moi' de cette surdétermination permettra son individualisation existentielle, en réponse à l'intelligence artificielle. Il faut pour cela que la Science de la Connaissance détienne un modèle intégrant la cybernétique.

 

La difficulté initiale et sa solution :

Lorsque la logique du Signifiant est observée dans le domaine social, elle montre d'abord la même résistance que celle que la psychologie individuelle a révélé. Basée sur une logique du Signifiant que la psychologie individuelle a instruite, la science se hisse vers le modèle collectif. Les premiers temps de la Gestion du Savoir commencent en manifestant une incertitude fondamentale en son propre comportement, et le Savoir de ce que la Gestion du Savoir fut perpétue s ce mélange.
Nonobstant que "l'histoire se répète", le fait que nous ignorerions un exercice antérieur d'une Gestion du Savoir, précisément répéterait ce qui serait alors arrivé - c'est à dire l'échec ou l'impasse de ladite gestion, puisqu'un manque de savoir. Cette assertion de négativité se reflète dans la psychologie humaine, entraînant une difficulté à largement développer ses potentialités.
C'est sur pareille ligne que l'on note que les communautés qui sont actuellement impliquées dans la Gestion du Savoir, affichent unanimement que leur pratique est nouvelle, et sans équivalent dans le passé. En quoi ils signent leur échec s'il y eut en fait, une Gestion du Savoir précédente. Il reste possible toutefois de détendre le noeud et le blocage d'une telle création-sans-antériorité. Tandis que pour le dénouer intégralement, nous devons faire appel à des concepts affolants dans le sein de ces communautés ; ce que l'on peut espérer voir admis malgré tout puisque le monde force à constater  que son industrie, dans les temps présent, développe des entreprises très sérieusement déconcertantes. Des forces primitives et vitales passent actuellement sous le contrôle d'une technologie qui couvre et rayonne sur la totalité planétaire. Dans un futur envisageable et probable, la vie ne subsistera que sous assistance industrielle. Il n'y a aucune raison d'hésiter à compter dans notre réflexion collective, l'instance de la mort de cette collectivité - le suicide du corps social ou son auto-destruction doivent à présent participer de la formule dans la Gestion du Savoir industriel est responsable.

Aussi bien notre communauté assumera-t-elle la responsabilité de cet enjeu, qu'elle en tirera le bénéfice de savoir comment la science s'est déjà familiarisée avec cet étrange épreuve. Le fameux modèle psychanalytique de Thanatos a préposé un composite de concepts, utile à confronter le processus historique de Gestion du Savoir. Des extraits choisis des écrits de Freud garantissent d'abord que la psychanalyse vise essentiellement à opérer vis à vis de la gestion des ressources humaines du savoir et/ou du refoulement.
Une fois acquis que la science de la pulsion de Vie, et de la pulsion de Mort peut étendre son traitement aux gens du même principe qu'elle traite l'Inconscient, et par conséquent le Savoir, nous pouvons poursuivre notre recherche d'information supplémentaires parmi les Sciences Humaines qui s'associeront à poursuivre notre compréhension de la nature de la Gestion du Savoir.
La seconde source d'information se trouve dans la sociologie elle-même. Ce n'est certainement pas inutile quant au savoir, de savoir déjà qu'avant 1901 (année de création de la Chaire de Sociologie) la science qui la précédait et la préparait, s'appelait science de l'éducation, prodédeutique, ; l'éducation étant certainement une gestion du savoir. Et plus intéressant, plus loin, ce qu'elle développa durant son développement, au 20em sicèle en terme de science :
Comme rappelé ci-dessus, c'est E. Durkheim qui l'établit sur la base de la logique du Signifiant. Mais il y porta aussi un concept sinistre, en comparaison d'une inoffensive Division du Travail et discrimination de valeurs ; en son application à la société humaine, la sociologie afficha encore plus ostensiblement que la psychanalyse un facteur fatal que la formulation du Savoir semble entraîner - Durkheim en effet institua le lien social d'un système de valeurs à la condition d'une 'anomie' désignant le suicide.

Mort et suicide, quoique fondamentaux ne sont généralement pas situé au premier plan du propos des professionnels de la Gestion du Savoir. Pourtant lorsqu'on regarde objectivement l'essentiel ou la majorité des problèmes environnementaux qui relèvent de l'insdustrie - ce qu'ils inspirent de pessimisme correspond à appel à une gestion du savoir, pour détourner leur cours qui semble autrement fatal. Au lieu d'éviter l'éventualité d'un Thanatos de l'industrie, l'excellente fonction d'une Gestion du Savoir s'indique de déjouer un suicide inconscient collectif. De ce point de vue clairement reconnu, la motivation de la Gestion du Savoir gagne soudain d'une nouvelle et brillante mission - voire un enthousiasme qui puisse lui donner force d'assumer les deux corpus fondamentaux que sont la Psychologie des Profondeurs et la Sociologie Fondamentale.

 

Avec une linguistique générale et la psychologie collective, nous n'avons apporté jusqu'à présent que des forces à notre recherche. L'identification de la cybernétique dans la sociologie n'a pas encore été liée. Nous avons légitimé, donné la raison et fonction de l'attachement du fondamental des sciences humaines à tout approche, même prosaïque, d'une Gestion du Savoir ; nous allons constater que de surcroît, c'est par cet attachement que les formules cybernétiques peuvent être introduites dans une réalisation pratique de la Gestion du Savoir.

 

CHAPTIRE TROIS

 


Formules du Savoir

 

Dans la mesure où c'est le clivage (tel que décrit ci-dessus) entre le régime des valeurs (Signifiant) et sa réalité (signifié) qui cause une situation identifiable au suicide d'un système industriel et/ou économique, il est probable que le régime du Code, lequel est (au contraire du Signifiant:) indéfectiblement enraciné dans le 'signifié', se combinera au Significant et provoquer une régénération au contraire.
Ceci répondrait au défi le plus grand pour une économie basée sur le Savoir, étant de trouver une méthodologie, une discipline ou un processus selon lesquels l'information soit faite productive (Roelof P. Beijerse citant la Société post-Capitaliste de P.F.Drucker).

 

Le batis des discours et les algorithmes cybernétiques 

La combinaison de la formule tripartite du Code (fig.01) et de celle, quadripartite, du Signifiant (fig.02) a été établie dans la théorie lacanienne d'abord avec une illustration basée sur une observation optique - qui exploite la différence que la science de l'optique décrit entre un type d'image 'réelle' (sorte d'image en 3 dimensions) {àmonter}et un type dit 'virtuel' (l'image que reflète un miroir). Lacan s'en servit pour représenter la duplicité entre les 'choses' ('x1', 'x2'; ci-dessus) telles que distinguées par le Code, et les 'images' qui sont virtuellement détachées de la réalité comme elles le sont du Signifiant (s', s'', s'''..; ci-dessus). La jonction de ces deux logiques (Code & Signifiant) constitue un système en perpetuel instabilité, en passant d'une logique à l'autre. Les premiers modèles de Lacan, en 1960, étaient primitifs mais suffisamment avancés cependant pour figurer une représentation de cette dynamique - comme de permiers battement d'un coeur d'embryon passant d'une logique sérielle à une logique du Signifiant alternativement.

 
Fig 03: formule(s) du Code et du Signifiant - lesquels associées en une matrice qui alterne en
un système à quatre (fig.gauche) et/ou trois (fig.droite) composants ; comme les deux états du Modèle Optique ci-dessus
le montre, constituant (ci-dessous) un modèle dynamique :

C'est à notre connaissance la première fois dans l'histoire que l'élusif statut de la représentation du Savoir ('S2') est établi pour la communauté scientifique, d'une manière formelle, algébrique et algorithmique. Quoiqu'encore aujourd'hui les techniciens de la Gestion du Savoir opèrent souvent à partir d'une définition subjective - ainsi qu'on en trouve l'expemple : Le Savoir est vu comme information, capacité à interpréter les données et l'information par le moyen de donner sens (à ces données et informations), et troisièmement attitude de le vouloir (Roelof P. uit Beijerse 1999). Nous voyons immédiatement que - bien que mentionnant les concepts constituants (données, information, signification, volonté) la définition littéraire est beaucoup plus allusive et par conséquent incertaine que l'agencement algorithmique ; et que seul ce dernier autorise une approche mathématique, une Cyphermatics, qui s'attache organiquement à l'organe "Intelligence Artificielle" qui doit vitalement être intégré à tout pratique de la Gestion du Savoir.
Lacan a réalisé cette formulation en manière d'une matrice rotative, en laquelle 'S2' (Savoir) est situé pour quatre types de discours - constituant un système Code/Signifiant scientifique :


 Fig 04: le Savoir en l'algorithme de la Psychologei Collective :
Rassemblant les deux phases alternatives du Code et Signifiant,
Quatre Discours sont composés en spin de 'régression' et 'progression'.

4 Discourses  



Cette formule permet essentiellement de situer une représentation de l'appareil de l'Intelligence Artificielle (Cybernétique, Lapareil) selon son extension appliquée après Lacan par son disciple A.Verdiglione. Cette dernière contribution correspond à la conception du 'meme' (utilement prononçable en Français mimi, bien que l'original anglais s'indiquait des prononciations françaises de même et mime), d'abord établie en biologie génétique avant que dans l'algorithmique informatique. Cette disposition s'illustre quand l'objet ('a') est en place de produit en tant que meme (aussi nommé semblance, ou réalité virtuelle, voire intelligence artificielle, etc..) ; dans cette circonstance, c'est l'opérateur, le losange au centre de la formule, appelé par Lacan poinçon, ou point-son, qui se confond audit objet (a), menant la quadripartite à l'articulation où elle s'attache à la trine du code.
Le deuxième aspect de cette formule qui concerne la Gestion du Savoir, relève du signifiant Savoir ('S2') lui-même et simplement. Il est à l'inverse d'une allusion de concept, objectivé comme Signifiant et en l'occurrence, par conséquent, coordonné à quatre types précis de discours (à l'inverse d'un concept qui par essence se tient de lui-même).
Le Discours du Gouvernement par exemple, représente le sujet humain en regard de cet autre signifiant de son Savoir humain. Mais le Savoir peut aussi être agent, auquel cas il est constitutif du Discours Académique. Des détails au sujet de ces discours et de la fonction de cette matrice peuvent être trouvés dans un article sur la gestion du Savoir répertorié (Littératures Grise et Blanche/idéale). Concernant ici le Savoir, l'algorithme identifie 'S2' quand il est traité comme objet (produit, signifié) dans le Discours de l'Industrie, ainsi que la Gestion du Savoir l'entend comme résultat et capital. Ici le Savoir est produit de l'entreprise qui peut être ré-investit comme vérité pour ses affaires. Ainsi dans le Discours du Travail, ce Signifiant est aussi signifié en place de la vérité par quoi les affaires du monde sont possibles.
Une précision explicative, ici, peut être mise en fonction : ce qui est ici dénommé Discours du Travail a été originalement nommé Discours de l'Analyste. Je l'ai prêté à aussi pouvoir s'appeler discours des affaires tant il est vrai que c'est sur un pacte de vérité que toute entreprise humaine se fonde, à preuve qu'elle soit au demeurant niée ou contrefaite. Dans son observation d'origine, la vérité n'a pas d'autre alternative qu'elle-même ; c'est ce qu'a traduit la psychanalyse, en l'identifiant à travers un Savoir (S2) qui s'isola dans le Transfert, et qui permit de conceptualier l'Inconscient. Mais ce n'est qu'à partir du moment où cette analyse se développe dans la perspective de l'industrie - tandis que le discours de celle-ci était à l'origine nommé comme le discours de l'hystérie - que d'un Inconscient imaginairement personnel le concept peut à l'avenant s'étendre en aboutissant à l'éclairage d'une théorie de l'Ecologie. C'est à ce degré que l'analyse elle-même se distingue d'un titre spécifique - qui fut celui de PLuriel ANalytique. Nous pouvons alors observer ou analyser le mécanisme de la difficulté que rencontre le travail humain à intégrer l'environnement où pourtant il s'affaire.

L'étape finale de la résistance

Cette dernière capacité à comprendre la gestion du savoir compose à la fois l'instauration des outils pratique de l'intégration cybernétique et la fondation-même de ses formules. La Gestion du Savoir acquiert par conséquent, avec la connaissance de la source de ces formules, l'accès à leur origine et leur histoire. L'algorithme du Code & Signifiant écrit la logique de ce qui arrive lorsqu'on trace un signe, qu'on le lit, et qu'on l'établit pour Lettre. Autrement dit, la force de cette formule est la représentation dans la psychologie collective du simple - et essentiel - fait d'écrire.
Nous avons par conséquent introduit dans notre intellignece de la Gestion du Savoir les coordonnées de la cause première de l'industrie, et sommes capables de rattacher notre concept du Savoir au moment premier, paradigmatique, de l'écriture. Ainsi de cette base, sommes-nous équippés pour répondre à la question de la présence de la Gestion du Savoir dans le passé - c'est à dire l'Histoire, ou la pré-histoire, de la Gestion du Savoir comme indiqué ci-dessus.

L'écriture s'est développée en plusieurs phases durant l'histoire de la civilisation, qui furent parfois plus exemplaires de destruction que d'une évidente expression des forces du progrès. Plongeant dans le passé, nous trouvons Gutenberg suivi de l'Inquisition - bien avant nous trouvions les grecs ptolémaïques et la destruction presque finale de leur librairie - et encore avant, la divulgation de l'Art d'Ecrire par les égyptiens qui s'accompagna d'une des phases les plus typiques et scène primaire de refoulement dans l'histoire. Si l'Ecriture est du savoir une authentique gestion, on doit envisager que chaque fois que la Gestion du Savoir a été mise en exercice, elle se soit trouvé associée à une dévastation.
Autant sont nombreux les éléments positifs qui adviennent avec le développement, que nous devons par ailleurs considérer ceux qui sont négatifs, afin de protéger les premiers. Par exemple une Pulsion de Mort  peut être voilée parmi les facteurs de l'évolution darwinienne, selon laquelle c'est suivant la mort d'une espèce qu'en émerge une plus évoluée ; mais pareil mode de transformation ne procède que jusqu'à ce qu'un état conscient et permanent s'établisse, bien plus économique en termes de mémoire et d'énergie. C'est par un progrès dans la pratique de l'écriture-même (ici identifiée à la Gestion du Savoir) qu'une espèce pourra évoluer jusqu'à une réelle transformation (au lieu de disparition et répétition). C'est ce que contemporainement la Gestion du Savoir vise à établir en vue d'une capacité des affaires et de l'industrie au changement.

 

Les formules linguistiques et cybernétiques de la fonction de l'écriture dans notre psychologie collective, permet d'identifier en elles-mêmes une Gestion du Savoir, et d'envisager la possibilité de leur amélioration. Une fois qu'ainsi mis à jour valeur et potentiel d'une Gestion du Savoir au travers de la reconnaissance de son histoire, peut alors être déterminé le facteur de son progrès au moment présent.

 

 

CHAPITRE QUATRE

 

Identification sociologique de la cybernetique 

 

 
3 Intermédiaire 4

La reprise fin 2003 de cet article débuté en 1999 - a permis de le clarifier - voire de franchement éclairer quelques points ci-dessus; et d'introduire un nouvel élément qui s'est parallèlement constitué depuis 1999.

D'abord l'éclaircissement qu'on trouvera dessus (2003) en comparaison avec l'original en anglais (1999) concerne le fruit du code pour la conscience (si tant est que des coordonnées de conscience puissent être considérées comme un fruit) ; il s'agit de la notion de relativité. On sait le succès que la Relativité a remporté et l'efficace dont elle a fait preuve en physique ; aujourd'hui où la cybernétique impose ses effets sur la connaissance, le code est introduit dans l'observation psychologique, et là aussi la relativité qui en ressort pourra y conditionner des effets scientifiques.

Mais ensuite, avec l'observation fonctionnelle du Signifiant et du Code, distinguant l'Absolu du premier et la Relativité du second, nous arrivons à ce point précis de l'article, à l'étape où nous manquons encore d'information sur le précis nouage, ou rouage, lequel à l'articulation de l'exemplaire distinction qu'illustrent les phases 1 et 2 du modèle de base. C'est là le nouvel élément lequel nous montrera dans l'histoire une manifestation de ce chaînon.

Il s'agit de la conception antique et/ou seulement ancienne de la signification. Suite à l'organisation d'une phase primaire - techniquement dénommée scène primitive - la signification se formule selon le modèle trine d'un signifiant qui signifie un signifiant qui signifie un signifié. Il s'agit d'une formule frustre de la métaphore et du jeu de la représentation de la représentation (représentation et processus secondaire).
Le 'signifiant' intermédiaire de cette signification à trois étages portait le nom de cachant - aujourd'hui ce cachant est analysé comme une division qui étend une relation - techniquement dénommée relation imaginaire. On appelle aussi cette division division du semblant ; et c'est ce passage du Cachant au Semblant qui offre l'observable transition du Code trine, au Signifiant quadripartite.

 

Il s'agit de la conception antique et/ou seulement ancienne de la signification. Suite à l'organisation
d'une phase primaire - techniquement dénommée scène primitive - la signification se formule selon le modèle trine d'un signifiant qui signifie un signifiant qui signifie un signifié. Il s'agit d'une formule frustre de la métaphore et du jeu de la représentation de la représentation (représentation et processus secondaire).
Le 'signifiant' intermédiaire de cette signification à trois étages portait le nom de cachant - aujourd'hui ce cachant est analysé comme une division qui étend une relation - techniquement dénommée relation imaginaire. On appelle aussi cette division division du semblant ; et c'est ce passage du Cachant au Semblant qui offre l'observable transition du Code trine, au Signifiant quadripartite.

 

 

   Nous avons donc trois éléments : deux modèles (un Code et un Signifiant) plus une transition (le cachant ou le semblant) - le Savoir qui gésit là-dedans émerge de manière la plus significative dans le discours de l'académie, ou il est identifiable en place d'agent. Ce n'est pas pour autant qu'il soit perceptive, intelligible, en cette position - car généralement c'est plutôt en place de l'autre que l'agent apparaît 'sensiblement', quoique dans l'illusion d'un reflet spéculaire. Que signifie donc (de) gérer ce Savoir?

   L'éclaircissement marqué de 1999 à 2003, stationne à présent une une difficulté plus précise. La gestion de S2 s'opère dans la combinaison du Code et du Signifiant. Les formulation ci-dessus permettent d'évoquer une synchronisation du 3 & 4 qui traduise une division d'où S2 émerge autant que le code l'engloutisse pour qu'il se régénère. Ce qu'ajoute le Temps Présent à la Renaissance, c'est manifestement l'appareillage cybernétique ; la machine qui manufacture l'intelligence artificielle à partir d'un Code de programmation. Pour résoudre à présent la difficulté qu'il y a à identifier la présence du Savoir dans le Code pour sa gestion, nous pouvons former l'hypothèse que ce soit le Code appareillé qui soit, en d'autres termes, le Signifiant.

Code appareillé = Signifiant
une formule à l'étude

   C'est à examiner cet aphorisme dans le domaine de la sociolgie que nous pourrons le nourrir d'alibi d'application ; ce qu'en science on appelle expérimentation. Puisque nous sommes à ce stade de tatonnement, une image ne sera pas vaine:

fig.10:   à gauche le Code appareillé et à droite le Signifiant    (au centre la transition)

 

   Je m'en tiendrais à ce point 20031012 - en pause à ce seuil où la psychanalyse me suggère, à l'écoute dite individuelle que pour autant que le discours quarte (ci-dessus à droite) opère, c'est qu'il tient du trine (à gauche) qui signifia la relation de la mère à la fille ; je veux dire qu'il me semble que  la relation féminine, sociale, d'alter-ego sans phi - ni conphiance d'ailleurs - de l'une à l'autre constitue la logique du code (fig.10 gauche où LAPAREIL supplée au corps de la merk'yapa) en scène sociale .
   Encore dans le flou de ce dégrossissement, on dira qu'à gauche c'est l' Euridyce  et à droite l' Oedipe  (au milieu c'est l'Orphée... et voilà, il va falloir se débrouiller et sortir quelque chose avec ça que je... pause-là)

 


 

dessous c'est l'en construction

{c'est le brasser, l'embrasser dans sa duplicité}

Le Savoir, S2 signifie différentes choses selon sa place, soit l'objet, soit le signifiant maître (S1)

a) Writing, 

object

LAPAREIL

with a logic (serial), Information can be understood as a techne)

Artificial Intelligence - 'meme'

----------

anomia

effects

PURAL

 

 

CHAPITRE CINQ

 

Application Pratique de la psychanalyse à la GS 

Principle of Reflection of the cause

expl Academia

b)Art of Memory

Application of Plural Analysis

Some Links/References

Emile Durkheim: http://cid.unomaha.edu/~ajuska/cltheory/Durkheim.htm

 

 

WORK IN PROGRESS

 


Foot Notes:

Note 10: As it has been revealed by the historian F.Yates, the origins and development of Cybernetics follows the psychological rules of an initial primary repression - that took place with the prefiguration of Artificial intelligence, according to Yates, by Giordano Bruno, the last Hermetic representative in Europe and the turn of the Renaissance. <back to text>