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ANTICHAMBRE GALERIE SAINT DESSEIN
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     table

part I Antichambre
C.6
dimoi plus tard

 

 


 05 

 

 -- Dis, mon Stu » dit Donna s'étirant sur les draps « est-ce que tu crois que ce savoir est comme une boue?»
   Elle se lève et ondule vers la salle-de-bain nue
 -- Boite l'idée » grommelle Stuart en ouvrant de l'oreiller l'œil libre qui la voit filer 
 -- Tu ne sais même pas ce que tu dis et ça ne veut rien dire » dit-elle des environs de la douche. Mais ne sachant jamais ajoute « Pourquoi tu dis ça ?
 -- Ça veut tout dire ta question ! précise l'idée que t'as dans la boîte » hèle-t-il du lit. Elle comprend.
   On entend pshshshshshshshshshsh de douche, puis vrrvrrvrrvrrvrrvrrvrr de porte qui roule, puis « Tu vas en profiter pour dire que j'ai des idées boiteuses !
 -- Et de la bonne occasion de t'offrir une béquille » dit le garçon s'étirant
   Elle glousse, puis en se brossant les dents dirait des phrases incompréhensibles, mais s'en passe et crachouille pour tout dire, préférant revenir vivement au lit sèche et bavarde.
 -- C'est Lapan, un prof de déprogrammation du panel de Sardaigne. Suivant son cours le savoir collectif, c'est ni plus ni moins la Démocratie. En un mot il dit "la démocratie, c'est le savoir collectif" - mais il ajoute qu'il faut voir ça, pour le comprendre, comme la boue, parce que "la boue hâte à l'idée". Je pensais qu'il disait la 'bouée', mais pas du tout ; la boue hâte - et toi du dis boite !
 -- Ah, ah! Il voulait dire 'bouillir'
» répond Stuart, impressionné par la coïncidence. Il n'a jamais suivi de cours de Lapan. Serait-ce de la télépathie ou du savoir collectif ? D'où lui est venu boite l'idée ?
 -- Non, carrément la boue. C'est dégoûtant !

   L'année universitaire est maintenant bien engagée. On approche des examens et Stuart au cours des cours est devenu de plus en plus dilettante - c'est mauvais signe pour les résultats. Nath, elle, s'accroche et adore. Ils vivent un beau aime. Elle dort et explique la raison de ses pensées au réveil :

 -- C'est tout un cours sur le désir et comment l'industrie s'en sert.
 -- Je pense que ton bonhomme essaie de modifier la solution de Dernays de la Maison Rose - mais qui selon toi, ramena de Piras les idées de Fraude » - il est fréquent qu'ils parlent ensemble du premier sujet de discussion du week-end qui présida à leur rencontre - « A présent il domine les politiciens et les commerçants ; c'est facile, ce ne sont pas des professionnels de la psycho - ils sont pro-pas. Dernays les organise en  pro  gangs, faciles à persuader que " l'unique solution c'est la propagande ". Mais du coup le désir est éclairé comme l'ombre » - ils s'étaient dit le matin de la veille que les rêves étaient comme une ombre que le jour effaçait - elle acquiesça ; « Il reste les universitaires qui cherchent - ils cherchent forcément ce qu'ils ne savent pas. Mais ils ont du mal à faire foi d'un  savoir  ; du coup personne ne sait qui dirige par quoi.
 -- Mais alors, "la boue" ??
 -- Il a voulu dire que la populace a, malgré tout, des idées qui vont encore plus vite.
 -- Tu comprends à toute allure mon Stu » dit-elle en tripotant son bout « mais ça n'explique pas tout.

 -- Pour ça il faut approfondir » répond-il en l'enlaçant et pour aller plus loin « il paraît que ton Lapan soutient que c'est toujours en faisant l'amour qu'on attrape les idées scientifiques valables.

   Précisément ! la question de la science n'est pas résolue. Elle saute du lit au peignoir puis vers le coin manger. Bientôt les toasts vont fumer. Stuart encore engourdiné se lève et la suit comme à la boussole.

   Il retrouve son amoureuse méditant sur le toaster ronronnant. Une tranche surgit avec un clac résonnant. Elle console au beurre la tartine qui lui mord les doigts, les suce et livre le fruit de la méditation :
 -- Lapan dit que les machines pensent
   Pensive, elle regarde à nouveau le toaster - un beau modèle chromé avec retardateur compilant, termaudifairenciel de marque Vian.
 -- Qu'est-ce que tu en penses ?
 -- Je connais bien ce point de vue et j'ai tendance à le croire » répond Stu qui ajoute de la confiture « Ce qui intéressait Neiwer - tu te souviens de Neiwer ? - j'ai cherché à savoir ce qu'il était devenu... On m'a dit qu'il était parti loin. Ça n'avance à rien l'où Un. Je pense surtout qu'il voulait savoir à quoi elles pensaient. »
 -- C'est la même chose qu'on cherche tous

 -- Mais.. si on la trouve, il va se passer quelque chose » s'énerve Stuart en se souvenant de son cours de pirentrope - un des seuls qui l'ait mu : « Ça ne pourra aller que mal en trop pis.
 -- Tu crois la chose pire que la femme ? » recharge-telle le toaster
 -- Neiwer pensait que ça devait produire quelqu'un.
» lui se désintriquant - comme régulièrement au-delà de la femme, la trique faute de troc prend le trac.

   Nathalie ne sait pas que Stuart n'a pas pensé lui dire que Neiwer lui avait expliqué qu'un individu privé de savoir - qu'il écrivait «  » - et qu'il avait écrit «  plat  » - généraliserait une absence d'opinion qu'on trouve dans la machine universelle s'il retrouvait la chose qu'on pouvait écrire « S°° » . Cette machine pourrait être une machine à gouverner - puisqu'elle n'aurait pas d'opinion, elle réfléchirait donc démocratiquement le savoir collectif. Sous ce gouvernement l'individu serait enfin quelque chose, ni l'alibi du pouvoir ni le placebo de la mort. Il avait reformulé l'annulation du mathématicien (  chose  ) ou lui-même remplacé sa négation (  chose  ) par le chiffre zéro, mais de pire en pire rien n'avait encore pu reproduire l'un ; la démocratie avait rendez-vous avec le citoyen, et l'attendait toujours :

 -- C'est bizarre qu'on ne l'ait pas revu depuis ce week-end. Pourtant quand on est revenu il était là.. mais personne ne sait plus.
 -- Lapan le connaissait, tu sais » avec une férocité soudaine « Lui aussi pense à quelqu'"un" mais il croit qu'il sera insignifiant.
 -- Ben.. il suffira qu'on lui fasse signe » interpellé par son désaroi « et à ce signe y fiant, il n'êtra... Regarde ! » saisissant l'occasion de la remonter « On va faire un bébé :
   La machine à pain griller commence à montrer des signes. Elle respire vite en faisant des bruits. Brusquement le ressort s'étire ; expulse son fruit mûr.
 -- Salut petit toast » dit Nathalie en riant. Elle minaude « est-ce que tu te prends pour quelqu'un ? » demande-t-elle au morceau fumant
   Elle regarde Stu déçue « Non! il ne dit rien.
 -- Attend de le croquer..  tu vas voir s'il ne va pas craquer, cuit comme il est. » espère encore Stu
 -- Non! c'est trop cruel » répudie-t-elle « et puis toi, tu ne dis rien au toaster. Tu vas te faire traiter de macho par les machines.
 -- Toi non plus ! tu ne cajoles pas l'accouchante » proteste-t-il « Cette machine va penser qu'on est Homohom
 -- Libération de la machine ! Libération de la machine ! » crie-t-elle en brandissant le poing féministe. « Cassons les couilles à Lapan !

   Stuart s'étonne d'un tel revirement soudain ; vite sa colère s'explique :
 -- Lapan reste machiste vis à vis des machines. Il veut bien qu'elles pensent, oui, mais qu'elles sachent ! il demande " Qui va le dire ?.. Qui va dire si les machines savent qu'elles pensent ? "
   Conscient qu'il est courant de penser sans le savoir, mais aussi qu'une réponse de travers permet de réveiller ce qu'on a pas su dire, Stuart décide de calmer la révolte par l'appel au peuple :
 -- Ben, évidemment.. c'est le savoir collectif qui va le dire
 -- Toi aussi tu penses que c'est la boue qui va dire que la machine pense ? Elle va dire ça parce que la boue hâte à l'idée ! Je te vois venir. Eh ! Bien, moi j'en ai marre, je vais bouder.

   Et la jeune femme quitte la table aussi brusquement qu'un toast et claque la porte et crie dans la chambre et soudain c'est le silence. L'émotion sera trop forte. Ça dépite, mais un bon chef comme Stuart ne se laisse pas impressionner comme ça. Il aura fait la vaisselle - en ratiocinant sur la hâte et l'intuition qui vient avant l'insu - et les couverts rangés, s'essuie les mains et rejoint Nathalie sur le lit.

 -- Doohonnaaa.., il s'est passé quelque chose ?

    Nath pleurniche. Ce qui s'est passé... Stuart à réactualisé la fonction de Niewer qu'il traite à la légère. Elle a lu les notes de Neiwer sur son nam (ce que Stu ne sait pas) et quand Stu l'a cité (Neiwer), elle a failli pleurer. Son nam maintenant c'est elle. Elle sait que les AnA la lisent. Les AnA lisent tout ce qu'on marque ; des fois ça la lyse franc mais elle ne peut pas s'empêcher. Suivant le règlement confit ils croient encore que c'est Neiwer. C'est une tension et une culpabilité énorme d'autant qu'elle en a aussi tiré un savoir considérable. Elle a accès aux archives, à sa biométrie, elle peut parleer comme lui. Comme elle, Neiwer commençait à penser qu'il fallait passer par la chose. Son raisonnement partait du fait que ce que tous les individus savent.. c'est leur ADN. " Pas un qui ne sache son génome - écrivait-il sur ses dernières pages - donc si on règle la machine sur l'ADN il n'y a pas de n " . Nath ne peut pas expliquer ça à Stuart qui ignore la transaction qui avait pris place quand ils s'étaient perdus en taxibosse avec Neiwer. Stuart ne peut que s'en tenir à la disparition de Neiwer. Comme avec le STAF elle doit faire que ses idées viennent de ce dernier, Nath avec Stu doit faire comme ses idées venaient d'elle. "Ses" idées de qui et d'elle qui ? Elle qui est lui, Neiwer en AnA ? Ses idées à lui qui n'est déjà peut-être plus qu'à l'OR ? Quand elle est prise comme ça elle dit à moitié en parlant de côté :

 -- On ne peut pas retirer l'ADN de l'individu ; on ne peut que le dégrader » répond Donna sans se tourner
 -- Qu'est-ce que tu racontes ? » s'étonne Stu qui ne peut comprendre pourquoi elle parle de génétique quand elle l'avait laissé sur la machine à penser des toasts - mais elle n'en dit pas plus. Il leur faut errer par mi-mots.

   Elle pense qu'il ne peut pas avoir idée de la garantie qu'on peut tenir du savoir collectif si on l'attache à l'ADN et qu'on le préserve par ce fait de l'annulation totale dont menaçait l' n . Elle désespère de pouvoir de là le mener à réaliser ce qu'elle a compris en apprenant que Lapan n'arrive pas à l'ordinateur génétique. Et sa méditation morose est vivement bousculée parce que Stuart insiste - elle le regarde avec une tête affreuse pour l'avertir qu'une incommunicabilité les menace de drames encore plus gigantesques :

 -- Tu parles d'ADN et ça n'a rien à voir » continue-t-il face à l'hagarde « Mais tiens ! À propos d'individu sans grade ça me fait penser à ce que m'avait confié Neiwer. Il prétendait avoir trouvé la formule d'une accentuation telle qu'au point qu'un individu qui n'en savait rien, pouvait avoir une fonction tellement nulle, qu'avec sa seule petite dégradation il entraînait tout le savoir collectif dans le néant. Il l'écrivait comme un null - n - un petit 'n' avec un trait dessus »

   Nath s'est immédiatement recongelée quand il a recommencé à parler de Neiwer. Mais dès la fin de sa phrase elle réalise que Neiwer a parlé à Stuart pendant qu'elle était en Sardaigne et donc qu'il est informé ! Aussitôt sait-elle qu'il sait qu'elle est prise de tendresse - même sa culpabilité fond ; elle voit Stuart comme elle ne l'avait jamais vu. Fort de choses cachées, d'une humilité incomparable, capable d'un destin, le potentiel d'un conducteur de foule ; elle ne le lâchera plus mais elle doit tout savoir :

 -- Tu ne m'avais jamais parlé de votre discussion ! Moi aussi j'ai soupçonné que Neiwer cherchait côté null » dit-elle pour rattraper ce qu'elle a dit sans rien ajouter d'autre - c'est à dire ajoutant ce qu'elle ne sait pas « mais alors.. il t'a parlé de sa théorie S°° !
 -- Quand l'as-tu su?
» s'étonne-t-il apprenant à son tour qu'elle sait.
 -- Il m'en a parlé sur le taxibosse, avec la psychohistoire
» ment-elle
 -- Tu ne m'avais jamais parlé de cette discussion ! Qu'est-ce que c'est que ça, la " psychohistoire " ? trouvant forcément le savoir qu'elle cachait.
 -- Un truc qu'il avait de travers,» répond-elle in extremis, ne révélant pas que c'est elle qui avait dû en parler pour savoir ce que Neiwer ne savait pas « ça l'occupait beaucoup moins que la puissance null au carré. Il t'a expliqué ?
 -- Oui il m'a informé brièvement de son S°° qu'il opposait à l'opinion de la propagande pour laquelle l'ignorance suffit à la fonction placebo. Mais ça ne répond pas à ma question »

   Stuart est donc suffisamment informé - pense Nathalie qui ignore encore que c'est Stuart qui a écrit la lettre de rupture, écrit :  plat  , sur le nam, précédant son remplacement par le citoyen de Neiwer, écrit : S°°, qui marquait la fin du nam avant qu'elle en devienne dépositaire. Or l'origine de ce "  plat  " est ce qu'il faut qu'elle sache pour manipuler ce nam sure de ne pas éveiller de doutes. Comme c'est après qu'elle testât s'il connaissait la psychohistoire ou qu'elle lui montrait qu'elle la connaissait - que Neiwer lui transmit son identifiant STAF, son nam, il faudra qu'elle lance Stuart (si ce n'est pas lui qui lui dit qui l'écrivit) aux trousses de Neiwer. Elle jette les dés :

 -- Neiwer m'a expliqué que la psychohistoire était quelque chose à laquelle il ne croyait pas et dont une femme lui avait un jour parlé comme la véritable intention de Fraude » répond Nathalie en ne mentant plus qu'à moitié cette fois « Il prétendait que c'était une rature de sa cybernétique, et qu'il fallait mieux l'écrire comme histoire barré en travers -   histoire  . Il disait que c'était des Aristotelliciens qui barraient ça comme  ça  , quand ils veulent écrire une négation. Comme il n'y croyait pas, c'est par là qu'il faut le chercher, s'il a disparu. Il faut que tu défendes la psychohistoire pour retrouver Neiwer » enfonçant l'estocade hypnotique préparée : « Il appelait un ApA un " Aristotellicien pas-Aristotellicien " ; je suis sure que Lapan est ApA -   aristotellicien  - et que Neiwer était non-Aristotellicien pour pouvoir figurer une  histoire  . Pour chercher Neiwer tu chercheras un aristotellicien-non-aristotellicien ; en ne le trouvant forcément pas tu trouveras la psychohistoire » et parachevant le conditionnement de son souhait : « À la place d'un AnA la psy qu'on trouve est l'histoire » avant que le réveil enfouisse l'enregistrement  : « Oublie plutôt la psychohistoire qui cache Neiwer, trouve Neiwer, celle qui cache disparaîtra et la chose insu paraîtra. » Tout est dit, et Stuart comme prévu reprend ses esprits en commençant à côté :                                    
 -- C'est pour ça que tu parles d'ADN sans dire pourquoi ?
» Il  remet son épaule dans son cou et trouve son sein.
 -- Parce que tu m'as parlé du null sans que j'y pensasse
» siffle-t-elle en se méfiant qu'il ne perdre la tête
 -- Mais je t'aime trop pour te parler du " pas-C'est " sans savoir. Si vraiment c'est une histoire génétique... tu sais moi aussi je pense à l'environnement !
 -- Je veux trouver la chose
 -- Si tu veux.. l'ADN c'est la chose 
 -- Non
 -- Si
 -- Écoutes : si tu cherches avec moi la chose, je t'aiderai à devenir directeur d'une maison d'édition. On fera une OPA. Tu deviendras un grand É diteur. De mon côté je me porte candidate au labo de Neiwer ; j'ai appris que depuis qu'il n'est plus là, ils cherchaient quelqu'un.
   Stuart se gratte en réfléchissant à la manière dont elle a prononcé ça ; comme c'est parti, il y a peu de chances qu'il réussisse ses examens et il ne sera pas pris au MIToy. En contre-partie, plus intéressante une carrière bien lancée ; donc si Donna offre son aide... une béatitude adoucit son visage. Nath sait qu'il dira oui
 -- Je retrouverai Neiwer.

 


 

  05  : photo de presse - maquillée, floutée, dans un jeu de miroir - distinguant l'anonymat ( le citoyen sans nom, anomie ) et la nomenclatura ( le citoyen classe, élite ) ; ici l'une de cette dernière votant.

 


  20140419104500 
annoncé sur site-cabinet-DWT

   Enregistrement vidéo du commentaire / DWT sur Lascène.Chap.6   

       

   suivi des notes/résumé dudit commentaire :  

   Le commentaire s'appuie sur les formules détaillées au chap.précédent ; il les résume et les situent dans la réalité : la conjonction que le 20em siècle et notre temps présent montre, entre la libération de la femme et l'implémentation de l'intelligence artificielle.
   Cette coïncidence matérialise l'hypothèse psychohistorienne d'une phase dite de l'individu (K.Lamprecht ; G.Aurobindo) ; elle se caractérise par l'émergence de l'individu ' elle '.

   L'analyse de cette phase est fournit par la psychanalyse s'appliquant au Savoir - découvrant le savoir collectif (d'où la démocratie et la déduction de son usage d'une machine à gouverner). Les mathèmes cybernétiques l'écrivent "S2" il s'agit de l'Inconscient anticipé par S.Freud.

   Le transfert exploité par la résistance est décommandé suivant la déposition du Sujet Supposé Savoir, SSS, et la reconnaissance d'un n'en-rien-vouloir savoir.
   A ce point, l'individu rencontre l'opportunité d'une théologie de l'objet - qu'une gestion propre de la génétique inactive et dépasse (qui présente la mémoire dans la psychohistoire).